Library
Goulven Quentel
Collection Total:
1073 Éléments
Last Updated:
Jul 3, 2012
Aliens alchemy
Corben Richard John Arcudi Le sergent Rachel Newcomen enquête sur l'assassinat d'un frêre de la légature au Refuge...Depuis le temps qu'on annonce la venue du Mal ! Dans le clocher, une autre victime, engluée et qui supplie qu'on l'achève: ce n'est que le début d'une longue série. Et le légat Muir d'annoncer " la nuit de la destruction approche..."
Le chêne du rêveur
Arno
Augustin, la croisée des chemins
Arno Augustin, lycéen rêveur mal dans sa peau, croit avoir tué accidentellement sa prof de maths et s'enfuit.
On le suit dans son errance et ses rencontres, mais la fin est curieuse et plutôt improbable.
Cependant les dessins très clairs d'Arno sont agréables, les personnages sont beaux et même si le scénario est un peu léger, on ressent bien les sentiments d'Augustin et il se dégage du charme de ce récit malgré tout inachevé.
A lire donc.
Kids 041594
Arno Un recueil de 8 nouvelles de 3 ou 4 pages (à une exception près) mettant en scène des enfants ou des adolescents. Leur qualité est évidemment inégale. Certaines confinent au chef d'oeuvre. Même celles qui paraissent quelconques (à mon sens 2 pas plus) bénéficient de la grâce du dessin d'Arno.
Il s'agit là d'une oeuvre de jeunesse (il a 24 ans quand la première édition sort!), elle a donc encore quelques légers défauts. Mais on sent la pâte d'un grand. Avec davantage de maturité certaines de ces histoires auraient gagné un peu longueur et permis d'explorer davantage la psychologie des personnages. Néanmoins deux d'entre elles par leur puissance et leur brièveté mériteraient d'entrer dans toute bonne anthologie sérieuse de la BD.
Dans la plupart des cas, Arno a également signé le scénario. C'est donc un grand auteur complet que la BD a perdu alors qu'il n'avait pas encore donné l'étendue de son registre, ni la mesure d'une oeuvre qui promettait d'être riche.
Les Aventures d'Alef-Thau, tome 2 : Le prince manchot
Arno, Alexandro Jodorowsky
Les Aventures d'Alef-Thau, tome 3 : Le roi Borgne
Arno, Alexandro Jodorowsky
Les Aventures d'Alef-Thau, tome 4 : Le seigneur des illusions
Arno, Alexandro Jodorowsky
Les Aventures d'Alef-Thau, tome 5 : L'Empereur boiteux
Arno, Alexandro Jodorowsky
Les Aventures d'Alef-Thau, tome 6 : L'homme sans réalité
Arno, Alexandro Jodorowsky
L'enfant tronc, tome 1
Arno, Alexandro Jodorowsky
Alef-Thau, Tome 2 : Le prince manchot
Arno, Alexandro Jodorowsky
Alef-Thau, Tome 7 : La porte de la vérité
Arno, Alexandro Jodorowsky
Les complots nocturnes : Dix-neuf rêves. De décembre 1979 à septembre 1994
David B.
Derrière les fagots
Baudoin
Le Ventre du minotaure
Beltran Le Ventre du Minotaure tourne autour du métro. En quelques planches, Beltran décrit les contours de Paul Charmillat, obscur petit employé qui perd son emploi et devient un des exclus du métro parisien. Entre boisson et déprime, il vit des aventures loufoques, catalogue des misères que peuvent vivre les clochards dans ce genre d’endroit. Derrière le dessin et les rebondissements d’une histoire sans vraiment de liant ni de cohérence, on sent que l’auteur a voulu dépeindre une réalité bien morose sous l’excuse de la satire et de la fable. Ici un attentat, là un groupe de contrôleurs excités… Des éléments en prise avec l’époque de cette BD, et qui ont encore une résonance aujourd’hui.
En résumé, on se sentira plus ou moins en accord avec Le Ventre du minotaure. Le scénario, ou plutôt son absence, pourra rebuter plus d’un lecteur. Néanmoins, on saluera la description onirique du monde du métro, de ses souffrances et de ses mystères. A travers cette histoire, Beltran s’adonne à une forme de critique et de satire sociale. Reste à savoir si cela touchera le lecteur, si la réflexion l’emportera sur le simple plaisir de la lecture.
Megalex, tome 1 : L'anomalie
Jodorowsky - Beltran Megalex? Un cauchemar d'urbaniste ou un rêve de dictateur, au choix. Une cité-planète grise et rectiligne qui s'étend à perte de vue. Dans cet univers régi par un ordre tyrannique, les citoyens asservis sont dotés d'un implant qui détermine leur "espace-vie". Mais un jour, la machine se dérègle. Une anomalie survient, sous la forme comique d'un clone policier à la taille anormalement grande... Le scénario est signé Alexandro Jodorowsky, auteur inspiré et inépuisable façonneur d'univers, de L'Incal à La Caste des Méta-Barons, de Juan Solo aux Technopères. Ecrit à l'origine pour Otomo, le créateur d'Akira, Megalex a finalement été confié à Fred Beltran, jeune dessinateur féru d'informatique. Beltran a conçu ses images sur son ordinateur, modelant objets et décors en trois dimensions, choisissant les angles de vision les plus efficaces à la manière d'un chef opérateur de cinéma. Résultat : une synthèse parfaite entre le réalisme époustouflant permis par l'informatique et la magie pure du dessin. Etonnant. —Gilbert Jacques
Sept pirates : Sept hommes reviennent sur l'Ile au Trésor
Pascal Bertho, Jérôme Lereculey, Tim McBurnie
Escondida
Georges Bess
Chroniques aléatoires
Georges Bess
Leela et Krishna, numéro 2
Georges Bess, Layla Bess
Leela et Krishna, tome 1
Georges Bess, Layla Bess
Anibal 5. 10 femmes avant de mourir, tome 1
Georges Bess, Alexandro Jodorowsky
Anibal 5. Chair d'orchidée pour le Cyborg
Georges Bess, Alexandro Jodorowsky
Juan Solo, tome 1 : Fils de flingue
Georges Bess, Alexandro Jodorowsky
Juan Solo, tome 2 : Les Chiens du Pouvoir
Georges Bess, Alexandro Jodorowsky
Juan Solo, tome 3 : La Chair et la Gale
Georges Bess, Alexandro Jodorowsky
Juan Solo, tome 4 : Saint-Salaud
Georges Bess, Alexandro Jodorowsky
Le Lama blanc : Intégrale
Georges Bess, Alexandro Jodorowsky
32 décembre
Enki Bilal Attention, événement ! Cinq ans après Le Sommeil du monstre, paru en 1998, Enki Bilal est de retour. Nom de l’album : 32 décembre. Évidemment, c’est une œuvre ambitieuse et complexe, traversée de fulgurances, de réminiscences personnelles et de considérations politico-historiques. Du pur Bilal, en somme. On ne résumera pas cet album – l’objet est trop compliqué à raconter. Voire, par moments, plutôt compliqué à lire et à décrypter... Mais c’est aussi cela qui fait tout le charme de l’auteur : cette volonté de brasser les thématiques et les angoisses de son époque, quitte à plonger son lecteur dans des abîmes de complexité. Précisons simplement (même si avec Bilal, le mot "simplement" peut paraître incongru) que l’on retrouve ici les trois personnages rencontrés dans Le Sommeil du monstre : Nike, Amir et Leyla. Ces "trois orphelins de Sarajevo aux quatre coins du monde", comme l’indique la quatrième de couverture, nous racontent l’histoire de 32 décembre. Bilal fait intervenir ses trois personnages à tour de rôle : la simple mention de leur nom, en marge de la page, permet d’identifier le narrateur. Avec Bilal, c’est toute la gamme des interrogations d’aujourd’hui qui se concentrent en un seul récit – le clonage, la manipulation mentale, le pouvoir, la religion… et la guerre, bien sûr –, n’oublions pas que c’est le conflit en ex-Yougoslavie qui lui donna l’idée d’écrire Le Sommeil du monstre. Une guerre toujours présente en toile de fond dans 32 décembre, à travers notamment le personnage de Nike et son passé qui, décidément, n’en finit pas de se rappeler à lui.
Bilal nous parle d’art, aussi. L’art et sa capacité – ou sa prétention ?   à s’approprier le monde et à le recréer. Dans 32 décembre, les invitations à un vernissage prennent la forme de micro-bombes qui viennent s’écraser aux pieds des invités, déclenchant ainsi un mini-nuage atomique, mais pas de panique : "c’est du nucléaire light", précise l’un des acteurs du livre. Avant d’ajouter : "moi, l’idée du néonucléaire soft au service de l’art, je trouve ça gonflé. Cette invitation est en soi un pur acte de création". Où commence l’art, après tout ? Où s’arrête-t-il ? En exergue de l’album, Bilal cite un dialogue entre un Allemand et Picasso. Ils se trouvent tous les deux devant le tableau représentant Guernica. "C’est vous qui avez fait ça ?", demande l’Allemand. Et Picasso de répondre : "non, c’est vous". Une manière de dire, peut-être, que cet album de Bilal ne fait que refléter les soubresauts de son époque – et aussi d’anticiper ceux à venir. Lui ne serait rien d’autre que le scribe scrupuleux et visionnaire de son temps… En tout cas, les amateurs de son trait retrouveront avec plaisir ses ambiances habituelles. Avec ces traînées de peinture qui caressent chacune des cases et installent ce climat brumeux et fantomatique, si caractéristique de l’esthétique "Bilalienne". Ils noteront aussi un changement dans la palette de couleurs qu’il utilise : à côté des traditionnels tons bleus, gris et rouges, ils verront du vert. Un vert plutôt tendre, d’ailleurs. Plein de fraîcheur, en un contraste réjouissant avec le monde plutôt cauchemardesque décrit dans l’album. Signe d’optimisme de la part de l’auteur ? Peut-être. Peut-être, après tout, que tout espoir n’est pas perdu. Pour le savoir, il faudra attendre le troisième album de la trilogie… —Gilbert Jacques
Le sommeil du monstre
Enki Bilal Nike Hatzfeld a trente-trois ans lorsque sa légendaire mémoire hypertrophiée le renvoie aux tous premiers jours de sa propre naissance. Nous sommes en 1993. La Yougoslavie agonise, les obus bosno serbes pleuvent sur l’hôpital de Sarajevo. C’est là que Nike partage son lit et ses premiers jours de vie avec Amir et Leyla, orphelins comme lui. Son destin bascule lorsqu’il se souvient avoir juré, à l’âge de 18 jours, de les retrouver et de les « protéger toujours ». Entre sa mémoire de 1993 et sa réalité contemporaine de 2026, Nike Hatzfeld subit une brutale contraction du temps, qui l’entraîne dans un tourbillon d’apocalypse religieuse obscurantiste, comme si les gênes de son futur de 2026 étaient inscrits dans son premier souffle de 1993. Un bal macabre secoue la planète, ballotte le monde et ses démocraties, orchestré par un certain Optus Warhole, autoproclamé ; « l’incarnation du mal suprême »…Nike et Leyla se trouvent. Amir, de son côté, surnage avec Sacha, une fille paumée, quatrième pièce rapportée d’un puzzle en cours.
Un siecle d'amour
Enki /Franck, Dan Bilal Sarajevo, le siècle avait quatorze ans, l'âge de raison dit-on. Pourtant il n'en aura pas tellement fait preuve, ce XXe siècle qui fut plus sanguinaire qu'aucun autre et qui "achève sa ronde de mort là où il a commencé ses ravages". Enki Bilal est originaire de ce que l'on appelle désormais l'ex-Yougoslavie et, s'il est surtout connu comme dessinateur, il a des talents multiples de peintre, metteur en scène, cinéaste. Ici, il n'illustre pas le texte de Dan Franck mais chacun, le peintre et l'écrivain brossent treize portraits de femmes qui disent toute la douleur de ce siècle dément. Sont ainsi passés en revue Sarajevo, Guernica, l'Holocauste, Hiroshima, etc. Un siècle d'amour, un siècle de haine défile dans le regard étrange de ces femmes qui posent nues pour le peintre, un peu à la manière de modèles pour photographies anthropométriques. La densité du texte sobre et sans pathos, associé à la beauté mystérieuse des images parvient à un équilibre étonnant pour dresser ce "catafalque du siècle". —Gérard Meudal
Péplum
Blutch
Vitesse moderne
Blutch Paris, aujourd'hui. Un soir, en sortant de ses répétitions, Lola, une jeune danseuse, est abordée par Renée. Se présentant comme écrivain, cette dernière propose à Lola une expérience inédite : qu'elle puisse partager sa vie pour une durée indéterminée, afin d'écrire un livre dont elle serait le sujet principal. Troublée, Lola accepte néanmoins. Le lendemain, Lola et Renée vont vivre une journée particulière, où il sera question d'un père absent, qui surgit cependant régulièrement à l'improviste, d'un amoureux transi, monomaniaque et psychopathe, d'Omar Shariff et d'une énorme araignée... Sur fond de coupure générale d'électricité, d'un programme de danse très exigeant et d'une inondation historique. Dans notre monde contemporain où tout va trop vite, vingt-quatre heures suffisent parfois à faire basculer une vie.
Pour en finir avec le cinéma
Blutch Qu'est-ce que le cinéma ? Quel effet nous fait-il ? Pourquoi l'aimons-nous? Autant de questions auxquelles Blutch répond à sa manière – profonde, humble et réfléchie –, puisant dans sa prodigieuse culture et, surtout, dans sa très grande science de raconteur de bande dessinée. Il évoque ainsi Burt Lancaster, Jean Gabin, Michel Piccoli, Luchino Visconti, Claudia Cardinale, Tarzan, Psychose... Tout autant essai graphique que bande dessinée ultime rêverie et fantasme sur l'autre art de la narration par l'image, Pour en finir avec le cinéma signe l'arrivée chez Dargaud d'un maître incontesté de la bande dessinée d'aujourd'hui.
Le voyage d'Esteban, Tome 1 : Le baleinier
Matthieu Bonhomme
Le voyage d'Esteban, Tome 2 : Traqués !
Matthieu Bonhomme
Chambre Obscure tome 1
Cyril Bonin
Chambre obscure, Tome 2 :
Cyril Bonin
Fog : Intégrale : Tome 1
Roger Seiter Cyril Bonin
Fog : Intégrale : Tome 2
Roger Seiter Cyril Bonin
Les Pionniers de l'aventure humaine
Boucq
Monographie
Boucq
Les Aventures de la mort et de Lao Tseu : Pas de quartier !
François Boucq On est peu de choses, allez... Prenez La Mort, par exemple. On pourrait penser : "avec sa faux et son rictus carnassier, en voilà une qui ne doit pas se poser trop de questions existentielles". Eh bien non. Même pas. Comme tout le monde, elle a ses petits soucis, ses états d'âme et ses contrariétés. Il suffit de lire le récit de ses aventures pour se dire qu'on n'aimerait pas être à sa place : avec tous ces humains qui lui rendent la vie impossible, elle a bien du mal à faire correctement son boulot. Et ce pauvre Lao-Tseu – le cochon qui la suit dans ses pérégrinations – ne lui est pas d'un grand secours…

Le lecteur l'aura compris : ici, nous sommes en plein dans l'absurde. François Boucq adore fourrer ses personnages improbables dans des situations où le mot "réalité" rime avec "incongruité". Avec "humanité", aussi : voir la Mort attablée au zinc, en train de méditer sur la condition humaine, nous la rend tout de suite beaucoup moins effrayante. De là à s'apitoyer sur son sort, tout de même, il y a des limites… —Philippe Actère
Bouche du diable
François Boucq, Jérôme Charyn L'histoire hallucinante de Bouche du diable commence par un jour d'hiver en Ukraine, à la fin de la deuxième guerre mondiale. Un jeune garçon, à moitié mort de froid dans la neige, est recueilli par une vieille paysanne. Son destin le mènera de l'orphelinat d'État de Karkhov jusqu'aux Etats-Unis où, sous le nom d'emprunt de William Budd, il servira d'agent de liaison aux services soviétiques. Avant de chercher en vain à échapper à son embrigadement.

Bouche du diable, écrit par le romancier Jerome Charyn et somptueusement dessiné par Boucq, démarre comme un récit d'espionnage avant de dériver peu à peu vers le fantastique et la fable métaphysique. C'est aussi une mise en images de New York comme peu de bandes dessinées ont su en proposer. Boucq alterne avec le même bonheur les scènes de rue dénuées de complaisance, une poursuite dantesque dans les égouts de la ville ou des plongées vertigineuses du haut d'un gratte-ciel en construction. Une oeuvre forte où le réalisme le plus cru voisine de purs moments de spiritualité. —Gilbert Jacques
La Femme du magicien
François Boucq, Jérôme Charyn
La Mort et Lao Tseu : La Rage de vivre
François Boucq, Stéphane Deleurence, Philippe Delan
Face de lune, le dompteur de vagues, tome 2 : La Pierre de faîte
François Boucq, Alexandro Jodorowsky
Face de Lune, le dompteur de vagues. La Cathédrale Invisible
François Boucq, Alexandro Jodorowsky
Le Trésor de l'ombre
François Boucq, Alexandro Jodorowsky
Bouncer. 1, Un diamant pour l'au-delà
François Boucq, Alexandro Jodorowsky Avec Bouncer, Alejandro Jodorowsky et François Boucq inventent un genre nouveau : le "western shakespearien". Un récit d'une violence terrible, où la démesure des paysages fait écho à celle des hommes, de leurs passions et de leur folie. L'histoire ? Celle d'une quête, comme souvent avec Jodorowsky. Et celle d'un diamant mythique, baptisé L'œil de Caïn. Un diamant au goût de mort et de sang que trois frères ont vainement tenté de posséder, voici quelques années. Avant de se séparer dans des conditions tragiques, après avoir repoussé encore plus loin les limites de l'horreur. Aujourd'hui, le temps a passé. Il n'a enfoui ni les souvenirs ni les rancœurs… Alejandro Jodorowsky et Boucq ont voulu débarrasser le western de ses oripeaux romantiques et de ses clichés pour retourner à sa source : un monde en proie à la sauvagerie et à la cupidité, peuplé de pauvres diables franchissant chaque jour la frontière ténue entre civilisation et barbarie. Un album à couper le souffle que l'on reçoit comme un uppercut. Âmes sensibles, s'abstenir… —Gilbert Jacques
Bouncer t.2 : la pitie des bourreaux
François Boucq, Alexandro Jodorowsky C'est l'histoire d'une vengeance. L'histoire sombre et fascinante d'une tribu familiale qui s'est entredéchirée, il y a de cela bien longtemps. À l'origine, ils étaient trois. Blake, Ralton et le Bouncer. Trois frères assoiffés de violence et de sauvagerie. Un jour, ils partirent en quête d'un diamant maudit, L'Œil de Caïn. Jamais ils n'en retrouvèrent la trace. Aujourd'hui, Blake, l'aîné des trois, est mort. Tué par Ralton, le fou furieux sanguinaire qui n'a toujours pas renoncé au diamant. Seth, son fils, a juré de le venger. Et c'est le plus jeune des frères, le Bouncer – un manchot –, qui va l'initier au maniement des armes et faire de lui un assassin. Il va le conduire jusqu'au bout de sa vengeance. Car "un désir de vengeance, ça ne vous laisse jamais tranquille".

La Pitié des bourreaux relate cette initiation. Le Bouncer enseignera à Seth les préceptes qui lui furent inculqués par Crazy Butterfly, sorte de géant écossais perdu dans la montagne, ancien tueur professionnel reconverti en guide spirituel et joueur de cornemuse à ses heures. Le Bouncer apprendra à Seth à endurcir son âme et à "devenir un bloc de marbre". Il lui fera découvrir les vertus du peyotl, ce cactus qui "ouvre la conscience" et "aiguise l'esprit comme un scalpel". Jusqu'au jour où il estimera que Seth est prêt, et qu'il est temps de retourner vers la ville pour attendre l'arrivée de Ralton. Là, Seth découvrira aussi l'amour, une sensation dont il ignorait tout jusqu'alors. Mais n'en oubliera pas pour autant son désir de vengeance…

Ce deuxième volet de Bouncer confirme toutes les promesses du premier. Le scénario de Jodorowsky donne à ce récit, à l'argument on ne peut plus classique – la vengeance –, une dimension onirique et métaphysique fascinante, relayée par le dessin de Boucq et ses vues vertigineuses de l'Ouest américain. Les scènes de l'initiation de Seth sont typiquement "jodorowskiennes". Elles plongent le personnage dans un autre univers : celui de sa vérité intérieure, révélée par l'absorption d'un champignon utilisé lors des rituels indiens et censé élargir la conscience de celui qui le consomme. On retrouve ici le thème, cher au scénariste, de la quête intérieure et du cheminement qui mène le héros à la rencontre de son destin. Qu'il se mêle de science-fiction ou de western, Alexandro Jodorowsky "fait du Jodorowsky". Le trait flamboyant de François Boucq et ses plans larges des paysages de l'Ouest donnent une dimension quasi cinématographique au récit.

Alors que plusieurs séries renouent – avec un bonheur inégal – avec le mythe du western, Bouncer s'affirme comme une œuvre à part, menée de main de maître par un scénariste et un dessinateur hors pair. Un futur classique… —Gilbert Jacques
Bouncer, Tome 3 : La justice des serpents
François Boucq, Alexandro Jodorowsky
Bouncer, Tome 4 : La Vengeance du manchot
François Boucq, Alexandro Jodorowsky Dans ce tome le Bounter redresse la tête dès les premières planches. (Un des combats western qui fera date, le héros venant à bout de plus de 17 adversaires...). Le souffle et l'ampleur de la vengeance qu'il va excercer, ainsi que le besoin de camper les grands espaces du far west fait que Boucq et Jodorowsky n'ont pu résister contrairement à la 1ére histoire, au plaisir de bouder ce nouveau cycle en 3 tomes.
Bouncer, Tome 5 : La Proie des Louves
François Boucq, Alexandro Jodorowsky
Bouncer, Tome 6 : La Veuve noire
François Boucq, Alexandro Jodorowsky
Bouncer, Tome 7 : Coeur double
François Boucq, Alexandro Jodorowsky
Le Janitor, Tome 1 : L'Ange de Malte
François Boucq, Yves Sente
Le Janitor, Tome 2 : Week-end à Davos
François Boucq, Yves Sente
Les Compagnons du crépuscule, tome 2 : Les Yeux d'étain de la ville glauque
F. Bourgeon Au sortir de ses pérégrinations du bois de brumes, le trio hétéroclite formé par Mariotte, l'Anicet et le chevalier, se rapproche de la grève océane. Toutefois, ils ne tardent pas à être pris à partie par de rustres villageois. Malheureusement pour elle, la Mariotte est retenue par la gente paysanne qui décide de la passer au pilori. Dans un sursaut climatique, elle survit à la curie et se voit recueillie par Yuna et sa grand-mère. C'est à leur contact qu'elle découvre en songe l'existence d'un bijou, l'éclipse bleue. Malheureusement, cette vision augure qu'il y a danger et que ce dernier va venir des terribles "douards". Aussi, après avoir retrouvé le groupe, en possession du fameux bijou, complété d'un trouvère et de deux lutins, Mariotte et sa nouvelle amie se décident à précipiter la fin du règne des douards en tentant de délivrer la Dame Blanche qu'ils retiennent captive en la ville glauque.
Les Compagnons du crépuscule, tome 3 : Le Dernier Chant des Malaterre
F. Bourgeon Mariotte, l'Anicet et le Chevalier sont en route pour la grande ville, Montroy la Belle. En ces lieux grouillant de monde, dominés par un solide castel, refroidis par les ardeurs de l'hiver et grevés par le poids sinistre de la guerre de cent ans, vit la descendance des Malaterre avec laquelle le Chevalier partage des souvenirs douloureux. Aussi, ces derniers ne tardent pas à être ravivés par une invitation de la châtelaine, Neyrelle de Malaterre. La destinée du Chevalier est en marche et traîne dans son sillage un bon nombre d'autres, telles celle de ses compagnons de voyage liés à des évènements peu glorieux mais également celle de tout un bourg.
Les Compagnons du crépuscule, tome 1 : Le sortilège du bois des Brumes
François Bourgeon Alors que la Guerre de cent ans fait rage et qu'elle étend son aura maléfique jusqu'au plus profond des campagnes, la jeune Mariotte, brimée par ses compagnons de même âge, se doit de quitter le giron familial suite à une tragédie dont elle est à l'origine. Elle rejoint l'Anicet qui, par force, accompagne lui-même un chevalier meurtri physiquement et en quête d'actions rédemptrices. Ensemble, ils atteignent un bois à l'épaisse frondaison et perdent leur chemin. C'est en ces lieux lugubres et malaisés qu'ils rencontrent d'étonnants lutins qui, à l'occasion d'un marché poussent le chevalier à chasser une bête malfaisante. Rêves ou réalités, telle est la question ?
Les passagers du vent , Tome 2 : Le ponton
François Bourgeon
Les Passagers du Vent, Tome 1 : La Fille sous la Dunette
François Bourgeon
Les Passagers du Vent, Tome 3 : Le comptoir de Juda
François Bourgeon
Les Passagers du Vent, Tome 4 : L'Heure du Serpent
François Bourgeon
Les Passagers du Vent, Tome 5 : Le Bois d'Ebène
François Bourgeon
Aphrodite, n.3
Louys P. /Wendling C.
Sketchbook Cassegrain #1
Didier Cassegrain
Sketchbook Cassegrain #2
Didier Cassegrain
Tao Bang, Tome 1 : Le septième cercle
Didier Cassegrain, Fred Blanchard, Olivier Vatine, Daniel Pecqueur
Tao Bang, Tome 2 : L'île aux sirènes
Didier Cassegrain, Fred Blanchard, Olivier Vatine, Daniel Pecqueur
Spacegirl, Tome 1 :
Travis Charest
Blueberry, tome 18 : Nez cassé
Jean Giraud et JM Charlier Une gueule. Un personnage. Une légende de l'Ouest américain, pas moins. Il s'appelle Blueberry. Mike Blueberry. Drôle de nom : en anglais, il signifie "myrtille"... Mais attention : avec son nez cabossé, sa barbe de trois jours et son caractère de cochon, Blueberry est un dur. Un coriace. Un éternel rebelle, indiscipliné, râleur et batailleur. C'est aussi l'une des figures légendaires de la bande dessinée, née dans les pages de l'hebdomadaire Pilote. Les bonnes fées de la BD se sont penchées sur son destin : ses créateurs, le scénariste Charlier et le dessinateur Giraud, sont deux signatures majeures du neuvième art. Jean-Michel Charlier, grand raconteur d'histoires et maître du récit réaliste, était l'auteur de classiques comme Buck Danny, Barbe-rouge ou Tanguy et Laverdure. Quant à Jean Giraud - qui ne signait pas encore de son pseudonyme Moebius -, il rêvait de mettre en images les paysages de l'Ouest. Quelques années plus tôt, lors d'un voyage initiatique au Mexique, il avait "passé un contrat avec le western, le désert infini et sa magie". En octobre 1963, Blueberry monte en selle dans Fort Navajo. Il va entraîner dans ses chevauchées plusieurs générations de lecteurs. La série ne manque pas d'atouts : les scénarios impeccablement ficelés de Charlier sont magistralement servis par le trait réaliste de Giraud, dont la puissance s'affirme au fil des albums. Le personnage de Blueberry, lui, va gagner en épaisseur et en humanité. Jusqu'à devenir un homme traqué, brisé, accusé de meurtre et trouvant refuge au sein des tribus indiennes, bien loin de l'imagerie traditionnelle de l'histoire du western. En 1989, Charlier disparaît. Giraud décide alors de poursuivre seul la série. Il met en scène un Blueberry pour le moins inattendu, qui délaisse l'action pour s'interroger sur le sens de son existence... Mais sa carrière est loin d'être achevée : Charlier avait écrit le récit complet de sa vie. Blueberry est programmé pour quitter la scène en 1933, le soir où le président Roosevelt signa l'Acte d'abolition de la Prohibition... —Gilbert Jacques
Blueberry, tome 24 : Mister Blueberry
Jean Giraud et JM Charlier BLUEBERRY n° 33 (1995) - GIRAUD Mister Blueberry - DL novembre 1995.
Blueberry, tome 10 : Général Tête Jaune
Jean Giraud et JM Charlier Une gueule. Un personnage. Une légende de l'Ouest américain, pas moins. Il s'appelle Blueberry. Mike Blueberry. Drôle de nom : en anglais, il signifie "myrtille"... Mais attention : avec son nez cabossé, sa barbe de trois jours et son caractère de cochon, Blueberry est un dur. Un coriace. Un éternel rebelle, indiscipliné, râleur et batailleur. C'est aussi l'une des figures légendaires de la bande dessinée, née dans les pages de l'hebdomadaire Pilote. Les bonnes fées de la BD se sont penchées sur son destin : ses créateurs, le scénariste Charlier et le dessinateur Giraud, sont deux signatures majeures du neuvième art. Jean-Michel Charlier, grand raconteur d'histoires et maître du récit réaliste, était l'auteur de classiques comme Buck Danny, Barbe-rouge ou Tanguy et Laverdure. Quant à Jean Giraud - qui ne signait pas encore de son pseudonyme Moebius -, il rêvait de mettre en images les paysages de l'Ouest. Quelques années plus tôt, lors d'un voyage initiatique au Mexique, il avait "passé un contrat avec le western, le désert infini et sa magie". En octobre 1963, Blueberry monte en selle dans Fort Navajo. Il va entraîner dans ses chevauchées plusieurs générations de lecteurs. La série ne manque pas d'atouts : les scénarios impeccablement ficelés de Charlier sont magistralement servis par le trait réaliste de Giraud, dont la puissance s'affirme au fil des albums. Le personnage de Blueberry, lui, va gagner en épaisseur et en humanité. Jusqu'à devenir un homme traqué, brisé, accusé de meurtre et trouvant refuge au sein des tribus indiennes, bien loin de l'imagerie traditionnelle de l'histoire du western. En 1989, Charlier disparaît. Giraud décide alors de poursuivre seul la série. Il met en scène un Blueberry pour le moins inattendu, qui délaisse l'action pour s'interroger sur le sens de son existence... Mais sa carrière est loin d'être achevée : Charlier avait écrit le récit complet de sa vie. Blueberry est programmé pour quitter la scène en 1933, le soir où le président Roosevelt signa l'Acte d'abolition de la Prohibition... —Gilbert Jacques
Blueberry, tome 25 : Ombres sur Tombstone
Jean Giraud et JM Charlier Une gueule. Un personnage. Une légende de l'Ouest américain, pas moins. Il s'appelle Blueberry. Mike Blueberry. Drôle de nom : en anglais, il signifie "myrtille"... Mais attention : avec son nez cabossé, sa barbe de trois jours et son caractère de cochon, Blueberry est un dur. Un coriace. Un éternel rebelle, indiscipliné, râleur et batailleur. C'est aussi l'une des figures légendaires de la bande dessinée, née dans les pages de l'hebdomadaire Pilote. Les bonnes fées de la BD se sont penchées sur son destin : ses créateurs, le scénariste Charlier et le dessinateur Giraud, sont deux signatures majeures du neuvième art. Jean-Michel Charlier, grand raconteur d'histoires et maître du récit réaliste, était l'auteur de classiques comme Buck Danny, Barbe-rouge ou Tanguy et Laverdure. Quant à Jean Giraud - qui ne signait pas encore de son pseudonyme Moebius -, il rêvait de mettre en images les paysages de l'Ouest. Quelques années plus tôt, lors d'un voyage initiatique au Mexique, il avait "passé un contrat avec le western, le désert infini et sa magie". En octobre 1963, Blueberry monte en selle dans Fort Navajo. Il va entraîner dans ses chevauchées plusieurs générations de lecteurs. La série ne manque pas d'atouts : les scénarios impeccablement ficelés de Charlier sont magistralement servis par le trait réaliste de Giraud, dont la puissance s'affirme au fil des albums. Le personnage de Blueberry, lui, va gagner en épaisseur et en humanité. Jusqu'à devenir un homme traqué, brisé, accusé de meurtre et trouvant refuge au sein des tribus indiennes, bien loin de l'imagerie traditionnelle de l'histoire du western. En 1989, Charlier disparaît. Giraud décide alors de poursuivre seul la série. Il met en scène un Blueberry pour le moins inattendu, qui délaisse l'action pour s'interroger sur le sens de son existence... Mais sa carrière est loin d'être achevée : Charlier avait écrit le récit complet de sa vie. Blueberry est programmé pour quitter la scène en 1933, le soir où le président Roosevelt signa l'Acte d'abolition de la Prohibition... —Gilbert Jacques
Blueberry, tome 26 : Géronimo l'Apache
Jean Giraud et JM Charlier Une gueule. Un personnage. Une légende de l'Ouest américain, pas moins. Il s'appelle Blueberry. Mike Blueberry. Drôle de nom : en anglais, il signifie "myrtille"... Mais attention : avec son nez cabossé, sa barbe de trois jours et son caractère de cochon, Blueberry est un dur. Un coriace. Un éternel rebelle, indiscipliné, râleur et batailleur. C'est aussi l'une des figures légendaires de la bande dessinée, née dans les pages de l'hebdomadaire Pilote. Les bonnes fées de la BD se sont penchées sur son destin : ses créateurs, le scénariste Charlier et le dessinateur Giraud, sont deux signatures majeures du neuvième art. Jean-Michel Charlier, grand raconteur d'histoires et maître du récit réaliste, était l'auteur de classiques comme Buck Danny, Barbe-rouge ou Tanguy et Laverdure. Quant à Jean Giraud - qui ne signait pas encore de son pseudonyme Moebius -, il rêvait de mettre en images les paysages de l'Ouest. Quelques années plus tôt, lors d'un voyage initiatique au Mexique, il avait "passé un contrat avec le western, le désert infini et sa magie". En octobre 1963, Blueberry monte en selle dans Fort Navajo. Il va entraîner dans ses chevauchées plusieurs générations de lecteurs. La série ne manque pas d'atouts : les scénarios impeccablement ficelés de Charlier sont magistralement servis par le trait réaliste de Giraud, dont la puissance s'affirme au fil des albums. Le personnage de Blueberry, lui, va gagner en épaisseur et en humanité. Jusqu'à devenir un homme traqué, brisé, accusé de meurtre et trouvant refuge au sein des tribus indiennes, bien loin de l'imagerie traditionnelle de l'histoire du western. En 1989, Charlier disparaît. Giraud décide alors de poursuivre seul la série. Il met en scène un Blueberry pour le moins inattendu, qui délaisse l'action pour s'interroger sur le sens de son existence... Mais sa carrière est loin d'être achevée : Charlier avait écrit le récit complet de sa vie. Blueberry est programmé pour quitter la scène en 1933, le soir où le président Roosevelt signa l'Acte d'abolition de la Prohibition... —Gilbert Jacques
Blueberry, tome 21 : La Dernière Carte
Jean Giraud et JM Charlier
Blueberry, tome 27 : OK Corral
Jean Giraud et JM Charlier C’est le grand retour de Mike Steve Blueberry ! Enfin, "grand retour", c’est vite dit. Il n’est pas trop fringant, l’ami Blueb’. Toujours alité, toujours blessé, la poitrine entourée de bandages, un toubib aux petits soins pour lui et une chanteuse de saloon nommée Dorée Malone en guise de garde-malade... On est loin du héros inoxydable qu’on a connu voilà quelques albums ! Tout ce qui reste du mythe nous ramène surtout au passé. Un plumitif venu de l’Est se charge de s’installer au pied de son lit et de recueillir les souvenirs du grand aventurier pour écrire ses Mémoires. Mais les événements vont s’emballer et pousser Mike à se lever plus tôt que prévu : Dorée a disparu. Du coup, on retrouve Blueberry au bar du saloon, bien décidé à s’occuper de l’enquête. Dans une ville comme Tombstone, il faut toujours craindre le pire. Et à propos de pire, les heures qui viennent risquent de compter double : dans l’ombre, un drame se prépare. Les frères Earp ne le savent pas encore, mais les gars des clans Clanton et McLaury leur préparent un réveil mouvementé. Là, la fiction rejoint la légende : celle d’un fameux duel à OK Corral, déjà immortalisé par le cinéma...
Avec Jean Giraud, les lecteurs de Blueberry ne sont pas au bout de leurs surprises ! Successeur de son complice Jean-Michel Charlier dans l’écriture du scénario, le dessinateur fait subir une transformation pour le moins intéressante à cette icône du western en bande dessinée. Son Blueberry à lui quitte sa défroque de héros bourlingueur pour se retrouver dans la peau d’un homme en proie au doute, cloué au lit et réduit à raconter sa vie… Inattendu ! Mais le démon de l’action recommence à le démanger dans ce nouvel épisode de la saga, et le lecteur se réjouira de retrouver le grand Blueberry qu’il a connu. Car il a beau s’appeler désormais "Mister" Blueberry, il est loin de ressembler au premier quidam venu. Quant au dessin, il reste un régal. La fluidité du trait de Giraud/Moebius, sa capacité à faire coexister un incroyable sens du détail et un goût de l’épure le rendent toujours aussi unique dans le paysage de la bande dessinée d’aujourd’hui. Et le visage de Blueberry n’est pas le moindre intérêt de cette nouvelle étape de la saga : au gré des pages et des cases, il se montre tour à tour raviné par les stigmates d’une vie chaotique ou étonnamment lisse, comme s’il s’agissait de celui d’un androgyne. Décidément, la reprise de la série par le seul Giraud n’a pas fini de nous étonner… —Gilbert Jacques
Blueberry, l'intégrale, tome 1
Jean Giraud et JM Charlier
Blueberry, tome 28 : Dust
Jean Giraud et JM Charlier
Blueberry : Apaches
Jean Giraud et JM Charlier
Parker, tome 1 : Le Chasseur
Darwyn Cooke, Richard Stark
Parker, tome 2 : L'Organisation
Darwyn Cooke, Richard Stark
Den
Richard Corben
DEN. Seconde époque
Richard Corben
Den la Quete T1
Richard Corben
Den, la quête, Tome 2 :
Richard Corben
Bloodstar
Richard Corben, Robert Ervin Howard,
La Chute de la maison Usher
Richard Corben, Edgar Allan Poe
Pilgor
Richard Corben, Simon Revelstroke
Saga den t04 les enfants du feu
Corben-R
Temps dechire
Corben-R+Jones-B
Fils du monde mutant
Corben-R+Strnad-J
Plaisir de myope
Nicolas de Crécy
La Lecture des ruines
B. David Qu'est devenu l'ingénieur Hellequin ? En ce mois de mai 1917, l'état-major allié s'inquiète. Le brillant savant a disparu. Un homme, Jan Van Meer, est chargé de partir à sa recherche. Un drôle de type, ce Hellequin. On lui doit quelques inventions pour le moins inattendues. Comme le canon à rêves, censé plonger les armées ennemies dans la folie. Ou encore le barbelé végétal, qui pousserait à travers les tranchées, étoufferait les soldats et détruirait tout jusqu'en Allemagne. Des inventions comme celles-ci, Hellequin en a plein. Mais son obsession, c'est la lecture des ruines. Il est persuadé que chaque ruine provoquée par les bombardements forme une lettre, et que l'ensemble de ces lettres constitue un mystérieux alphabet permettant de communiquer avec l'esprit de la guerre... Van Meer, folkloriste gagné à la cause alliée et passionné par les croyances des soldats pris dans la tourmente de la Grande Guerre, se met en route. Et ne tarde pas à tomber sur Hellequin dans une rue de Londres. Mais dans ces ruelles sombres, véritables dédales de briques tissés tels des labyrinthes, il croisera d'autres personnages plus inquiétants : le gotha de la pègre réfugié dans la capitale anglaise pour se livrer à une guerre des clans sans merci...

Comme à son habitude, David B. plonge son lecteur dans un univers onirique envoûtant. On retrouve dans La Lecture des ruines les préoccupations de cet auteur dont l'imagination semble inépuisable : le pouvoir des rêves, les savants plus ou moins fous, les contes et les mythologies du monde entier, et l'ombre de la mort qui plane au-dessus des personnages. À travers Van Meer, il raconte les superstitions dont se nourrissaient les pauvres bougres des tranchées. Ainsi, on découvre que la présence d'un autobus dans un rêve signifiait une menace de mort prochaine, qu'une folle sarabande de monstres ailés parcourait parfois le ciel lors de bombardements intensifs, et que chaque homme tué au combat renaissait dans le ciel sous la forme d'une étoile... Et sa vision des bas-fonds de Londres, habités par des truands aux trognes patibulaires et aux surnoms romantiques à souhait, fait naître chez le lecteur de délicieux frissons d'inquiétude... —Gilbert Jacques
Wolverine, tome 5 : Possession
Alan Davis
X men clandestine t.1 : le cauchemar des destine
Alan Davis
Le Marquis : Danse macabre
Guy Davis, Lucas Moreno, Alex Nikolavitch (Traduction)
La Nouvelle Bande Dessinée : Blain - Blutch - David B. de Crécy - Dupuy-Berbérian - Guibert - Rabaté - Sfar
Hugues Dayez
Long John Silver, Tome 1 : Lady Vivian Hastings
Xavier Dorison, Mathieu Lauffray
Long John Silver, Tome 2 : Neptune
Xavier Dorison, Mathieu Lauffray
Long John Silver, Tome 3 : Le labyrinthe d'émeraude
Xavier Dorison, Mathieu Lauffray
Asgard, Tome 1 : Pied-de-fer
Xavier Dorison, Ralph Meyer
Emotion de censure
Michel Durand
Durandur, Tome 1 : Durandur encule tout le monde
Durandur
Durandur, Tome 2 : Durandur s'excuse 04 67 66 33 40 : Je pisse sur la bande dessinée
Durandur
Durandur, Tome 3 : Durandur... ta gueule ! : Un peu d'ici et maintenant avant de crever tous
Durandur
Les clés de la bande dessinée : Tome 1, L'art séquentiel
Will Eisner
Jésus Marie Joseph
Michel Faure
Kililana Song tome 1
Benjamin Flao
La Ligne de fuite
Benjamin Flao, Dabitch
Mauvais garçons, Soléa 2
Benjamin Flao, Dabitch Comment rendre en bande dessinée toute la force émotionnelle du flamenco ? Le projet était si ambitieux et les planches si expressives qu’il a fallu en faire deux tomes dans un format plus grand !
Mauvais garçons, Soléa 1
Benjamin Flao, Dabitch L’Andalousie et le flamenco sont inséparables. Manuel et Benito également. Le premier est Andalou. Le second Gitan. Ils sont jeunes, ils ne travaillent pas. Et ils ont une passion commune, reflet de leur façon de vivre : le flamenco. Un état d’esprit, une disponibilité, une sensibilité exacerbée.

Chant, guitare et danse l’expriment d’autant mieux que sa pratique est spontanée, fiévreuse, emballée. Aux antipodes d’une programmation professionnelle. C’est pourquoi Manuel et Benito ne vivent que d’expédients. Comme deux vrais « Mauvais garçons », voués à leur passion. Seules quelques aventures amoureuses parviennent à les en détourner. Et quand elles s’achèvent, leur mélancolie vient nourrir leur inspiration.
Mettre cette ambiance en image relevait de la gageure. Christophe Dabitch (scénario) et Benjamin Flao (dessin) s’y sont attelés, forts d’une somptueuse « Ligne de fuite » commune, dédiée à Rimbaud (paru en novembre 2007, chez Futuropolis). Pauvreté, douleur, injustice sociale, y côtoient soleil, oisiveté et nonchalance. Dessins et cadrages suivent le tempo, tour à tour nerveux et paresseux. Du grand art.
Spirou et Fantasio, tome 16 : L'Ombre du Z
franquin
Faery City
Mathieu Gaborit, Amandine Labarre
Les Blondes, Tome 6 : Mises à nu
Gaby, Dzack
Les Blondes, Tome 7 :
Gaby, Dzack
Les Blondes, Tome 8 : Le grand huit
Gaby, Dzack
Les Blondes, Tome 1 :
Gaby, Dzack, Yoann Guillo
Les Blondes, Tome 3 :
Gaby, Dzack, Yoann Guillo
Les Blondes, Tome 4 :
Gaby, Dzack, Yoann Guillo
Les Blondes, Tome 5 :
Gaby, Dzack, Yoann Guillo
Les Blondes, Tome 9 :
Gaby, Dzack, Yoann Guillo
Calendrier 2010 les Blondes
Gaby, Dzack, Yoann Guillo
Les Blondes : En ch'ti
Gaby, Dzack, Yoann Guillo, Eva Di Battista
Black Orchid Book 1
Neil Gaiman
Black Orchid Book 2
Neil Gaiman
Black Orchid Book 3
Neil Gaiman
The Tragical Comedy or Comical Tragedy of Mr. Punch
Neil Gaiman, Dave McKean In his grandfather's seaside arcade, a young boy encounters a mysterious Punch & Judy man with a dark past and a woman who makes her living playing a mermaid. As their stories unfold, the boy must confront family secrets, strange puppets and a nightmarish world of violence and betrayal. Second printing. Graphic novel format.
Collected Sandman Covers, 1989-1997
Neil Gaiman, Dave McKean
Signal to Noise
Neil Gaiman, Dave McKean Originally serialized in The Face, Signal to Noise is the story of a film director dying of cancer. His life's crowning achievement, his greatest film, would have told the story of a European village as the last hour of 999 A.D. approached — the midnight that the villagers were convinced would bring with it Armageddon. Now that story will never be told. But he's still working it out in his head, making a film that no one will ever see. No one but us.

Signal to Noise is a poignant story, rich in humanity, depth, and communications theory. A beautifully designed and printed book, showcasing McKean's stunning artwork and Gaiman's story, Signal to Noise will make you re-evaluate your thinking about the potential of the medium and a book you will be proud to share with your friends. They will thank you for it!
The Day I Swapped My Dad for Two Goldfish
Neil Gaiman, Dave McKean "I'll swap you my dad," I said.

"Oh-oh," said my little sister.

What if you wanted your best friend's two goldfish so much that you'd swap anything for them, even your father?

What if your mother came home and found out what you'd done?
Masque miroir
Neil Gaiman, Dave McKean
Les lumières de l'Amalou. 5, Cendres
Christophe Gibelin, Claire Wendling
Mattéo 01
Jean-Pierre Gibrat
Le quatrième pouvoir, Tome 1 : Supramental
Juan Gimenez
Le quatrième pouvoir, Tome 2 : Meurtres sur Antiplona
Juan Gimenez
Léo Roa l'Intégrale :
Juan Gimenez
Le quatrième pouvoir, Tome 3 : Enfer vert
Juan Giménez
Notes pour une histoire de guerre
Gipi "A cette époque-là, nous passions tout notre temps sur la colline, parce que descendre au village était devenu trop dangereux. Christian semblait avoir grandi d'un coup ... On n'aurait jamais dit qu'il avait encore (et seulement) dix-sept ans.
A cette époque-là, notre vallée semblait dormir. Elle semblait dormir, blessée. Comme après une cuite de folie.
En regardant bien on voyait les trous des bombes. "

"Notes pour une histoire de guerre", c'est l'histoire de trois jeunes garçons : Julien, Christian et "P'tit Kalibre" - "parce qu'il est petit mais terrible". Dans un pays en guerre où des villages aux noms de saints sont bombardés sans cesse, ils survivent comme ils peuvent, malgré les difficultés ... Mais peut-être que tout ça va changer quand ils rencontrent Félix, le chef d'une millice corrompu. Les choses vont changer, oui ... en bien ? Ou en pire ?
Extérieur nuit
Gipi Une bande de jeunes garçons discutent un peu fort sous les fenêtres d’un HLM.Une fenêtre reste ouverte toute la nuit.
Trois jeunes gens se réfugient dans un cabanon de pêche pendant un bombardement.
Un malfrat se fait philosophe.
Une bande de jeunes jouent à imiter des motards sur la route.
Un marin recherche des clandestins sur un pétrolier.
A première vue, des histoires simples. De l’autobiographie sans grand intérêt. C’est méconnaître le talent de Gipi, et son goût pour l’histoire forte. Celle qui vous met un poing dans la figure et vous laisse, la dernière planche tournée, un goût amer dans la bouche. Le goût de la surprise douloureuse, de l’étonnement catastrophé. Jamais de pitié, mais toujours le mot juste pour la sensation du revolver contre la tempe, de l’intrusion malfaisante, de la traque… Peu ou pas d’espoir dans ces nouvelles. Pas de joie en tout cas. Le sentiment d’inéluctabilité facilite l’immersion totale dans ces récits, cruels et sans concession. Le graphisme n’est pas là pour nous sortir la tête de l’eau : peinture à l’huile et calque, deux matériaux que l’on a pas l’habitude de voir ensemble, apportent une froideur, et en même temps font entrer totalement dans le récit. La peinture sert pour les décors, toujours noir, bleu ou sépia, et le calque pour les personnages, pour créer du mouvement. Pourtant, il n’est pas toujours là, laissant souvent la place à une fixité dérangeante et obnubilante. C’est de l’assemblage des deux que naît la force. Le texte sans dessin est puissant. Le dessin sans texte est brutal. Les deux ensemble sont infiniment humains.
S.
Gipi En français, ce «S.» pourrait être celui des souvenirs, mais il est surtout celui d’un père, récemment parti et devenu présence spirituelle.
Gipi interroge cette nouvelle place, cette construction immatérielle entêtante qui remonte bien avant son enfance, pendant une guerre et la jeunesse de ses parents.
S. est peut-être le premier roman familial[1] en bande dessinée. Ici pas de souvenirs linéaires, d’un point «N» comme naissance à un point «M» comme mort, mais bien plutôt ce qui fonde une famille, c’est-à-dire les souvenirs et l’expérience partagée, dite et redite, devenus mythes pour ceux qui la composent.
Il y eut un bombardement américain en août 1943 sur le village natal, familial, la désertion de jeunes allemands, la violence d’une guerre, des armes et autres objets associés qui viendront contrepointer les mots d’un père et les circonstances ultérieures.
Que tout cela soit le point de vue de ceux qui parlent le plus ou de ceux que font le plus peur, le plus rire aussi, en parlant et en les faisant parler, tout cela n’a finalement que peu d’importance (on pourra en sourire plus tard).
Le plus dur est de vivre avec ce qui fut et de ne pas le laisser contaminer ce qui est. Et à cela, S. fut certainement le héros légitime de son fils et de sa famille.
C’est avec ça, de ce passé de plus en plus imaginaire que tous vivront et c’est avec ça que certains grandiront, interrogeant leur héros d’oncle et de père, leur faisant répéter cette histoire dans l’Histoire où tout finissait bien puisqu’ils étaient tous là, ensemble et au présent. La preuve, Gipi s’en souvient.
Même face à la guerre, face à la violence, une vie ne se fait que de petites aventures jamais à la hauteur de son imaginaire propre. Ce sont des coups donc, que l’on encaisse par les facultés salvatrices de l’oubli et les petits mensonges du dire, de la reconstitution par la parole, pour le dire, le partager dans l’émotion, séduire l’autre malgré tout.
S. était tout cela et Gipi, le fils, veut mettre ses images sur ces souvenirs. En voulant le dire à sa manière, c’est leur dimension mythique qui éclate. Ils arrivent et repartent aussitôt, se révèlent les refrains de sa vie parmi ses penchants, ses amitiés et ses ivresses.
Gipi offre alors de belles pages dominées par le flash du souvenir que viendra préciser, quelques pages plus loin, une case ou une scène. Un beau puzzle narratif entretenu, cimenté par un sens du texte, de l’écriture, assez rare dans la bande dessinée, d’autant qu’il ne se fait pas au détriment des images.
L’auteur se souvient donc, mais avec la pudeur d’une initiale et la compréhension transformée en force, de la faiblesse des mots, des images et de la singularité d’une vie. Et si tout cela n’est qu’imagination cela tient autant du père que du fils — et c’est certainement le plus beau de liens filiaux.
Ma vie mal dessinée
Gipi « Je dois le dire tout de suite, même si cette révélation doit avoir un effet négatif sur le volume des ventes de ce bouquin. Ce n'est pas le sida qu'ils m'ont trouvé ». Alors que l'on croyait avoir dompté la force des récits de Gipi, voilà que le prix du Meilleur album d'Angoulême 2006 nous jette en pleine face ce cri irrépressible, déchirant, troublant. 'Ma vie mal dessinée' est une oeuvre d'une puissance dévastatrice, qui interloque. A l'origine, la démarche de l'Italien est égoïste : par ce livre, il tente de trouver des réponses. Il mène l'enquête, au coeur de sa conscience, de ses souvenirs, de ses peurs, pour mettre la main sur le pourquoi. Pourquoi il peine autant à entretenir une relation amoureuse. Pourquoi il est tiraillé par un mal mystérieux. Pourquoi sa vie est si mal dessinée. Face à lui-même, Gipi fouille, se rappelle, éclaire les zones d'ombres de son existence pour déceler des indices. Sans effets ni mise en scène outrageuse, mais avec une sincérité bouleversante, l'auteur devient sujet ; le lecteur devient complice, témoin, ennemi ou point de repère. Magistralement monté, ce récit introspectif brille par le talent d'écriture de son créateur, mais aussi par sa capacité à changer de ton. Le livre hésite entre intrigue fantasmagorique, peuplée de personnages étranges, comme cet "ours qui dit toujours putain" ou ce capitaine pirate, et ce "je" froid et réaliste, si cru qu'il en devient glaçant. Les graphismes évoluent au gré de ces humeurs : le trait brouillon et rageur, griffonné, énervé, excité, charismatique, passe du noir et blanc à la couleur sans effort, toujours au service de l'écriture acérée et cathartique. 'Ma vie mal dessinée' est une expérience personnelle lourde et complexe. Mais servie par un tel brio artistique, et par un humour omniprésent, elle devient une expérience de lecture sidérante.
Moebius/Giraud, histoire de mon double
Jean Giraud
Mississipi river
Jean Giraud, Jean-Michel Charlier, Christian Rossi
Page noire
Frank Giroud, Denis Lapière, Ralph Meyer
Secrets : L'écorché : Tome 1
Frank Giroud, Ruben Pellejero, Florent Germaine À Paris, quelques années après la Commune de 1871, un couple de bouchers élève comme leur propre fils Tristan, un garçon atteint d'une difformité qui l'oblige à porter en permanence une sorte de minerve, qui lui masque le bas du visage.
Tristan devient un peintre fervent, tout en gagnant sa vie aux abattoirs, suivant en cela les traces de son "père". Comme le décrivent les amis de son père : il est dans la barbouille et la barbaque. Sa peinture décrit les corps et dissèque les âmes.
Mais la rencontre avec Mathilde, une jeune et belle bourgeoise passionnée par la révolution impressionniste en cours, bouleverse le fragile équilibre sur lequel repose la vie de Tristan.
Secrets : L'Ecorché : Tome 2
Frank Giroud, Ruben Pellejero, Florent Germaine Retour à la série « Secrets » scénarisée par Frank Giroud. Il s’agit ici des deux tomes de « l’écorché » dessinés par Pellejero. Dans un style très personnel, il nous raconte l’histoire tragique de Tristan, un handicapé, laissé pour compte, mais futur grand peintre. Il excelle dans un style graphique qui lui est bien propre. La mise en couleur est également très personnelle. Servi par un scénario écrit à quatre mains, c’est l’histoire complexe d’un secret de famille qui finira par être dévoilé en fin de diptyque. Une lecture très agréable concoctée par des auteurs qui savent y faire ! A découvrir si cela n’est déjà fait !
Le codex Angélique, Tome 1 : Izaël
Thierry Gloris, Mikaël Bourgouin
Route vers l'enfer
Goossens
Le romantisme est absolu
Goossens
L'homme à la valise
Daniel Goossens
Georges et Louis, tome 4 : La Reine des mouches
Daniel Goossens
Sacré comique
Daniel Goossens
Topless
Le Gouefflec+Balez
La guerre d'Alan intégrale
Emmanuel Guibert
Le Capitaine écarlate
Emmanuel Guibert, DAvid B Marcel aime les livres et Monelle. Monelle est libre comme le vent, et le vent se déchaîne, avec force éclairs et torrents de pluie, partout où le Capitaine Écarlate et son équipage posent l'ancre pour accomplir leurs méfaits dans un Paris mystérieux.

David B. et Emmanuel Guibert nous livrent un ouvrage étrange, surréel et poétique, aux couleurs vives et à l'histoire opaque, nous contant l'histoire de ce pirate masqué qui parcourt la capitale dans son bateau volant aux ordres d'un équipage qui n'a pas peur de perdre la tête.

Un voyage au bout du songe éveillé que semble vivre Marcel Schwob, authentique écrivain de la fin du XXe siècle ami de Léautaud et Daudet, amoureux des livres, bouleversé de se voir proposer une mort plus romantique et aventureuse qu'il ne l'aurait jamais espéré. —David Rault
La fille du professeur
Sfar - Guibert Londres, fin du XIXe siècle. Imhotep aimerait bien épouser Liliane, la fille du professeur. Seul inconvénient : Imhotep n'est pas un prétendant comme les autres. C'est une momie. Un ancien prince d'Egypte, vieux de trois mille ans, qui se promène enveloppé de bandelettes dans le Londres victorien. Le père de Liliane, homme très "comme il faut", trouve que tout ça fait un peu désordre. Après tout, Imhotep est une antiquité : sa place est donc au British Museum... Avec La Fille du professeur, Joann Sfar (scénario) et Emmanuel Guibert (dessin) racontent une histoire pleine de charme et de fantaisie, aux inspirations variées : de Conan Doyle à Mary Poppins, de Jean Ray à Hitchcock, des films d'horreur avec Boris Karloff à Blake et Mortimer. C'est un album drôle et léger, tendre et poétique, avec un dessin au lavis qui alterne les ambiances. Tendance sépia pour les moments de nostalgie, clair-obscur pour les scènes inquiétantes sur les docks. Une vraie réussite, confirmée par une fin savoureuse. —Gilbert Jacques
Mezolith, Tome 1 :
Ben Haggarty, Adam Brockbank Il y a 10 000 ans. La tribu Kansa vit sur les rivages de la Mer du Nord où le danger n’est jamais loin. Chaque saison apporte son lot de nouvelles aventures, chaque chasse a ses risques et chaque rencontre avec la tribu voisine se termine dans un bain de sang. Poika, un jeune adulte doit maintenant faire ses preuves et avoir confiance en la force et la sagesse de ses aînés qui le guideront. Une histoire où s’entremêlent beauté magie et toute l’horreur de l’Âge de Pierre. Ben Haggarty est le plus célèbre conteur anglais, il a à son répertoire plus de 350 contes populaires.
XIII Tome 18 : La version irlandaise
Jean Van Hamme, Giraud
Chronique des immortels, Tome 1 : Au bord du gouffre
Wolfgang Hohlbein, Benjamin von Eckartsberg, Thomas von Kummant
La chronique des immortels, Tome 2 : Au bord du gouffre
Wolfgang Hohlbein, Benjamin von Eckartsberg, Thomas von Kummant
La chronique des immortels, Tome 3 : Au bord du gouffre
Wolfgang Hohlbein, Benjamin von Eckartsberg, Thomas von Kummant
Les mille et une nuits
Corben / Strnad Jan
Jerry Spring : L'intégrale en noir et blanc : Tome 1
Jijé
John Difool avant l'Incal, tome 5 : Ouisky, SPV et homéoputes
Alejandro Jodorowsky Des années avant L'Incal, la jeunesse de John Difool nous est contée par le menu. Après la mort de sa mère et l'incarcération de son père, John est recueilli par un dealer puis par un robot voué à la casse, avant de se lancer dans la carrière de détective privé.

Bien que située dans le temps avant L'Incal, il vaut mieux lire cette seconde série de six volumes après la première vague des Incal, afin de garder les surprises et de savourer les révélations que Jodorowsky nous fait le plaisir d'offrir, aidé dans la finalisation de cette grande fresque de science-fiction par Janjetov, dont le trait, sensiblement différent de celui de Moebius, ajoute un charme particulier à la série.

Critique sociale, exploration d'un univers servie par des dialogues de haut niveau, Avant l'Incal est une série phare de la bande dessinée des années 80 aux rebondissements nombreux et à l'importance capitale. —David Rault
Les Aventures d'Alef-Thau, tome 8 : Le Triomphe du rêveur
Alexandro Jodorowsky, Covial
La Caste des méta-barons : La maison des ancêtres
Alexandro Jodorowsky, Gimenez
La caste des Méta-Barons : Première partie : Tomes 1 à 3
Alexandro Jodorowsky, Juan Giménez
La caste des Méta-Barons : Deuxième partie
Alexandro Jodorowsky, Juan Giménez
La caste des Méta-Barons,troisième partie
Alexandro Jodorowsky, Juan Giménez
Final Incal, Tome 1 : Les quatre John Difool
Alexandro Jodorowsky, José Ladronn
Final Incal, Tome 2 : Louz de Gara
Alexandro Jodorowsky, José Ladronn
Borgia, Tome 1 : Du Sang pour le Pape
Alexandro Jodorowsky, Milo Manara
Borgia, Tome 2 : Le Pouvoir et l'Inceste
Alexandro Jodorowsky, Milo Manara La Saga des Borgia, le tome 2 (réservé à un public averti).
Borgia, Tome 3 : Les Flammes du Bûcher
Alexandro Jodorowsky, Milo Manara
Borgia, Tome 4 :
Alexandro Jodorowsky, Milo Manara Catégorie Pink 24x32 cm 56 pages couleurs / couverture cartonnée
Svoboda : Prague-Tcheliabinsk
Kris, Jean-Denis Pendanx, Isabelle Merlet
Le photographe, Intégrale
Didier Lefèvre, Emmanuel Guibert, Frédéric Lemercier
Tueur de cafards
Benjamin Legrand, Jacques Tardi
La Brigade Chimérique - Livre I
Serge Lehman, Fabrice Colin, Gess, Céline Bessonneau
La Brigade Chimérique - Livre II
Serge Lehman, Fabrice Colin, Gess, Céline Bessonneau
La Brigade Chimerique - Livre III
Serge Lehman, Fabrice Colin, Gess, Céline Bessonneau
La Brigade chimérique, livre 4
Serge Lehman, Fabrice Colin, Gess, Céline Bessonneau
Brigade chimerique (la) - livre 5
Serge Lehman, Fabrice Colin, Gess, Céline Bessonneau
La Brigade chimérique, livre 6
Serge Lehman, Gess, Fabrice Colin, Céline Bessonneau
Noé
S. Levallois
Le dernier modèle
Stéphane Levallois À la demande d’une galériste, Stéphane accepte de faire une exposition consacrée au Nu. Pour cela, il ne trouve pas mieux que de demander à des amies (dont certaines qu’il n’a pas vues depuis longtemps) de poser pour lui, dans le plus simple appareil. Une bonne opportunité pour discuter, pour mieux se connaître. Ainsi l’auteur découvre toute la fragilité de Laurence, « l’inaccessible », qui, en acceptant de se dénuder, se révèle tout autre que cette jeune fille sportive à la beauté froide. Et Céline, qui profite de l’absence de sa mère pour poser. Hélène, elle, se prête au jeu sans grande conviction, peut-être parce que son père est aussi un artiste… Ces rencontres sont l’occasion pour l’auteur de s’interroger sur le temps qui passe, sur les rapports de séduction et sur son rôle d’artiste. Comment représenter toutes ces femmes ? (Et surtout Élise, sa chère épouse.) Et puis... Et puis, il doit bien reconnaître que le vernissage s’annonce plutôt compliqué.…Sans parler de cet étrange voisin du dessous, qui laisse couler sa baignoire, et qui reçoit Stéphane en silence, un masque à gaz sur le visage. Quant à son statut d’artiste, il prend de sérieux coups. Commentaires ou comparaisons douteuses sur ses dessins, jusqu’à l’incompréhension la plus totale. Que valent Egon Schiele ou Horst Janssen face aux « Eaux de Mortelune » ?
La Résistance du sanglier
Stéphane Levallois
Ranxerox, tome 1 : Ranx à New York
Liberatore
Le dernier loup d'Oz. Prologue : la rumeur des eaux
Lidwine
Fantastic Four, Tome 1 : Vive les Fantastiques !
Scott Lobdell, Alan Davis
Peter Pan, tome 1 : Londres
Régis Loisel Par une nuit d'hiver, assis sur de vilaines planches en bois à l'extérieur d'une maison, un petit garçon est plongé dans la lecture d'un livre de mythologie grecque. Il s'appelle Peter. Nous sommes à Londres, en 1887. Il fait un froid glacial. Soudain, un trait de lumière jaune vient terminer sa course sous son capuchon. Peter croit avoir capturé une étoile filante. En vérité, il s'agit d'une minuscule créature vivante. Une fée… Ravissante, coquette et terriblement susceptible. Et quand cette fée jette une poignée de poussière dans les yeux du petit garçon, celui-ci se met à voler dans les airs, par-dessus les toits londoniens couverts de neige…

Le lecteur l'aura compris : ce petit garçon n'est autre qu'un certain Peter Pan, figure légendaire de l'imaginaire occidental, apparu dans le roman de James Matthew Barrie et adapté très librement en dessin animé par Walt Disney. Le dessinateur Régis Loisel, coauteur de la série à succès La Quête de l'oiseau du temps, s'est à son tour emparé du mythe pour le transcrire en une bande dessinée dont le premier volet est paru en 1990. Une œuvre qui s'est très vite imposée comme l'une des plus belles réussites de la BD contemporaine. Tout en rendant hommage à la beauté de l'adaptation signée Disney, le dessinateur a opté pour une vision sombre et parfois cruelle de l'œuvre de James Matthew Barrie. Servi par un dessin foisonnant au coup de crayon énergique, son Peter Pan charrie des images fortes et tourmentées, des instantanés de sang et de violence brute qui voisinent heureusement avec des scènes d'humour et de poésie bucolique. Le récit démarre dans les ruelles sordides des quartiers miséreux du Londres victorien, loin, bien loin des maisons confortables chères à Disney. Peter est un gamin rejeté par sa mère. Un enfant des rues qui fait oublier leurs malheurs à ses copains d'infortune en leur racontant avec talent des histoires à rêver debout. De quoi leur faire croire que la vie n'est peut-être pas si moche que ça... Le soir venu, il trouve écoute et réconfort auprès de mister Kundal, homme bon et instruit qui lui offre à manger. Et qui lui apporte aussi les nourritures spirituelles indispensables à son développement intellectuel en l'initiant aux mystères de la mythologie grecque. Au passage, il lui parle de son père – une scène qui prendra toute sa force dans Crochet, le cinquième et avant-dernier volume de la série… Entrer dans le Peter Pan de Régis Loisel, c'est s'embarquer pour une odyssée fascinante à travers les méandres de l'imaginaire. Après tout, comme le dit si bien Peter, il suffit d'y croire… —Gilbert Jacques
Peter Pan, tome 2 : Opikanoba
Régis Loisel
Peter Pan, tome 3 : Tempête
Régis Loisel
Peter Pan, tome 4 : Mains rouges
Régis Loisel Mais si ! Peter Pan a existé ! À Poulbot de White Chapell, le quartier de Londres le plus populeux en cette année 1887, il survit vaille que vaille dans un monde d'adultes corrompus par la misère. Un soir d'hiver, la fée Clochette vient l'arracher à sa mère ivrogne et aux appétits glauques des clochards privés d'amour. Peter Pan découvre alors le monde féerique imaginé par sir James James Barrie. Enfin, féerique, pas tant que ça. On y meurt aussi...

Revisiter un mythe, le parer des couleurs de la réalité sans en faire fondre la magie n'est pas à la portée de n'importe qui. Normal que ce défi ait inspiré Régis Loisel, dessinateur surdoué de La Quête de l'oiseau du temps et du très érotique Troubles fêtes. Indiscrétion : Régis Loisel a situé l'action du premier tome dans un Londres enneigé... par ce qu'il déteste dessiner les pieds ! —Jean-Pierre Fuéri
Peter Pan, tome 6 : Destins
Régis Loisel
Peter Pan, tome 5 : Crochet
Régis Loisel, James Matthew Barrie C'est l'événement BD de l'année 2002 : le cinquième volet de la saga de Peter Pan. Avant-dernier de la série, Crochet voit s'affronter Peter et l'affreux capitaine manchot. Celui-ci est bien décidé à se débarrasser de ce gamin insolent. Justement, l'un de ses marins vient de lui bricoler un superbe crochet serti de diamants étincelants... De quoi savourer une vengeance remâchée depuis belle lurette. Seulement voilà : Crochet n'a pas que Peter pour ennemi. Un certain crocodile reconnaissable à son bruit de réveil lancinant s'attache à ses pas et le poursuit jusque dans ses rêves. Tic-tac, tic-tac… Pauvre Crochet ! Lui qui fait trembler d'effroi ses meilleurs marins se laisse glacer par une terreur insurmontable dès que le crocodile pointe ses dents et ses yeux globuleux. Le second du navire, Mouche, décide alors d'inventer un leurre à l'effigie de son capitaine. Mais le cruel croco n'est pas du genre à lâcher prise facilement… Peter, de son côté, s'offre un petit voyage à Londres chez son cher Mr Kundal. Bien mal en point, le vieux bonhomme lui remet un trésor original : une lettre cachetée. À l'intérieur, une photographie de femme…

Avec ce cinquième tome, Loisel revient en grande forme. Son trait fouillé et généreux n'a rien perdu de son dynamisme. Et son imagination reste à la hauteur des précédents volumes. L'affrontement entre Peter et l'ignoble Crochet prend ici une tournure inattendue grâce à un rebondissement final proprement sidérant… Décidément, Loisel a su s'approprier avec talent et originalité l'œuvre de James Matthew Barrie sans jamais lasser le lecteur. L'attente du sixième et dernier volume risque de paraître bien longue… —Gilbert Jacques
Alim le tanneur, Tome 1 : Le secret des eaux
Wilfrid Lupano, Virginie Augustin
Alim le tanneur, Tome 2 : Le vent de l'exil
Wilfrid Lupano, Virginie Augustin, Geneviève Penloup
Notre mère la guerre, tome 1 : Première complainte
Maël, Kris
120, rue de la gare
Malet, Tardi, Léo Malet C'est la guerre. Le détective privé Nestor Burma a été fait prisonnier. Loin de son cher Paris, il se morfond derrière les grilles d'un stalag. Un soir, un détenu amnésique meurt dans ses bras en lui laissant un message : "Dites à Hélène... 120 rue de la Gare..." Hélène ? Sa secrétaire chérie ? Burma est intrigué ! De retour en France, il retrouve son ami Colomer mais celui-ci est abattu à ses pieds juste après avoir mentionné cette même adresse ! Le détective de choc se met en quête ! Au prix de quelques coups, pansés avec un humour à toutes épreuves, il rassemble, entre Lyon et Paris, dans ce climat si particulier de fin de la guerre, les pièces éparses d'une formidable intrigue !

Écrit en 1943, ce roman est le premier d'une longue série mettant en scène Nestor Burma, le privé de Paris. Il scelle la naissance du roman noir à la française, cocktail de suspense, d'humour, de poésie et de réflexion sociale. 120, rue de la Gare est également paru en album, impeccablement illustré par Tardi. —Sophie Colpaert
M'as-tu vu en cadavre ?
Léo Malet, Tardi On l'appelle Burma. Nestor, de son prénom. Profession : détective privé. On le surnomme "l'homme qui met le mystère K.O.". Ç'est sûr, la formule sonne bien. Mais le plus souvent, c'est lui qui est sonné : les coups de matraque qu'il prend sur le crâne sont aussi célèbres que son air bougon ou son amour de la bouffarde.

Cette fois, il enquête dans le show-business parisien. Sur la piste d'un certain Nikolson, artiste dans la mouise se prétendant "acteur et fin diseur", et du célèbre Gil Andrea. Un chanteur de charme, selon ses admiratrices. Un briseur de tympans à grands coups de guimauve, selon Burma. Dans ce concert de types pas très clairs, notre détective va tâcher de faire entendre sa petite musique... Après Brouillard au pont de Tolbiac, 120, rue de la Gare et Casse-Pipe à la Nation, c'est la quatrième adaptation par Tardi d'un polar de Léo Malet. Burma est en grande forme, plein de gouaille et de répartie. Tardi aussi, qui s'y entend pour nous plonger dans l'ambiance du Paris populaire et nocturne des années cinquante... Allez, Nestor, une autre ! —Gilbert Jacques
La Mécanique du Coeur
Mathias Malzieu
Amer béton - Tekkinkinkrito, tome 1
Taiyo Matsumoto
Amer béton - Tekkinkinkrito, tome 2
Taiyo Matsumoto
Amer béton - Tekkinkinkrito, tome 3
Taiyo Matsumoto
Ping Pong, tome 1
Taiyou Matsumoto Nombre de pages : 226
Ping Pong, tome 2
Taiyou Matsumoto Nombre de pages : 226
Cages, intégrale
Dave McKean Mero House. "Merrow", comme le miaulement d'un chat. Un chat noir qui descend l'escalier d'incendie et regarde à travers les fenêtres les habitants du petit immeuble. Il y a la femme abandonnée et son perroquet. Il y a la logeuse et son plumeau. Il y a l'écrivain et sa femme, qui ne sortent jamais, prisonniers de leur appartement pour d'obscures raisons. Il y a Ange, le musicien qui joue et chante ses poèmes dans la boîte de jazz, de l'autre côté de la rue. Il y a la dame d'en face, sur son balcon. Enfin, il y a le peintre en mal d'inspiration qui passe de longues heures devant sa toile blanche, effrayé par le blanc, apeuré par la liberté, hanté par d'inquiétantes visions. Lentement, le quotidien glisse dans l'étrangeté...

Totalement inclassable, Dave McKean est l'un des dessinateurs les plus talentueux de sa génération. Il l'avait déjà prouvé dans les quelques albums réalisés avec Neil Gaiman (Orchidée noire, Mr. Punch...). Mais c'est seul qu'il a réalisé cette œuvre extrêmement ambitieuse et originale, réflexion sur l'inspiration et l'angoisse de créer, où l'on retrouve son incomparable mélange de styles et de matières. Encre, photographies, matières en volumes, collages, pastels s'entrecroisent au gré des digressions d'un récit long, complexe et foisonnant. —Georges Louhans
Echos graphiques
Dave McKean
Qui a peur de robert crumb
Mercier
XIII Mystery, Tome 1 : La mangouste
Ralph Meyer, Xavier Dorison
Séquelles
Hugues Micol
Le chien dans la vallée de Chambara
Hugues Micol
Terre de feu, Tome 1 : L'archer rouge
Hugues Micol, David B.
Terre de feu, Tome 2 :
Hugues Micol, David B.
Ironwolf :
Michael Mignola, John Francis Moore, Howard Chaykin
Hellboy, Vol. 2: Wake the Devil
Mike Mignola A murder in a New York wax museum and a missing corpse lead Hellboy into ancient Romanian castles on the trail of a sleeping legend: the original nobleman vampire. Nazi scientists prepare for the return of their occult master and the end of the world, and Hellboy confronts his purpose on earth.
Hellboy, Vol. 3: The Chained Coffin and Others
Mike Mignola Mike Mignola's story notes accompany the long out-of-print stories, giving insight into their creation and inspiration. Some consider Mignola's short stories better than the full-length novels, and this collection makes a strong argument for that, especially with Mignola's masterpiece, "The Corpse."
Hellboy, Vol. 5: Conqueror Worm
Mike Mignola At the end of World War II, American costumed-adventurer Lobster Johnson led an Allied attack on Hitler's space program, but not before the Nazis were able to launch the first man into space. Now, after sixty years, Hellboy is partnered with an artifical man - a Frankenstein's monster implanted by Bureau scientists with a bomb - to travel to the ruined castle in Norway to intercept the returning capsule, and its single passenger. . .the conqueror worm.
Hellboy, Vol. 4: The Right Hand of Doom
Mike Mignola The second collection of short stories by award-winning cartoonist Mike Mignola includes the 1999 hit series Box Full of Evil; "The Right Hand of Doom," which concisely and thoroughly examines Hellboy's history; and "Pancakes," Mignola's most hilarious and surprising story to date; and others - many presented here in color for the first time.
Hellboy, Vol. 6: Strange Places
Mike Mignola Mike Mignola returns with his first new Hellboy collection since 2002's Conqueror Worm. After leaving the Bureau for Paranormal Research and Defense, Hellboy's travels take him briefly to Africa, then for a two-year stint at the bottom of the ocean. An ancient witch doctor, a giant fish woman and keeper of the secret history of the universe force Hellboy to either accept his role in the coming apocalypse, or have that role stolen from him. Weird undersea creatures and talking lions populate this turning-point adventure, which reveals secrets buried since Hellboy's very creation. This volume collects Harvey-and-Eisner-award winner Mike Mignola's Hellboy series The Third Wish and The Island with over a dozen unused pages and a new epilogue.
Hellboy, Vol. 7: The Troll Witch and Other Stories
Mike Mignola As a new Hellboy series hits the stands, fans of the world's greatest paranormal detective can find older favorites collected for the first time in the seventh volume of the Hellboy Saga. Hellboy: The Troll Witch and Others collects short stories from The Dark Horse Books of the Dead, Witchcraft, Hauntings, and Monsters, the 2004 Hellboy: Wizard 1/2, as well as the critically acclaimed 2006 miniseries, Hellboy: Makoma by Mignola and comics legend Richard Corben, and a previously unpublished Hellboy story by P. Craig Russell and Mike Mignola, along with sketches and story notes.
Jenny Finn Doom Messiah TP
mike mignola
Abe Sapien Volume 1: The Drowning
Mike Mignola, Jason Shawn Alexander A century ago, paranormal investigator Edward Grey fought and destroyed a powerful warlock off the coast of the island of Saint Sebastien. In the early 1980s, the B.P.R.D.'s newest agent was sent to retrieve the warlock's remains. But Abe Sapien is ill prepared for the dark forces that block his way. Written by Hellboy creator Mike Mignola, and featuring the haunting art of Jason Shawn Alexander (Damn Nation, The Secret, The Escapists), Abe Sapien: The Drowning is the story of Hellboy and B.P.R.D. mainstay Abe Sapien's first solo adventure.
Hellboy, Vol. 1: Seed of Destruction
Mike Mignola, John Byrne Hellboy is one of the most celebrated comics series in recent years. The ultimate artists' artist and a great storyteller whose work is in turns haunting, hilarious, and spellbinding, Mike Mignola has won numerous awards in the comics industry and beyond. When strangeness threatens to engulf the world, a strange man will come to save it. Sent to investigate a mystery with supernatural overtones, Hellboy discovers the secrets of his own origins, and his link to the Nazi occultists who promised Hitler a final solution in the form of a demonic avatar.
Hellboy: House of the Living Dead
Mike Mignola, Richard Corben Devastated over the loss of his luchador comrade to vampires, Hellboy lingers in Mexican bars until he''s invited to participate in the ultimate wrestling match with a vicious Frankenstein monster!
Hellboy Volume 11: The Bride of Hell and Others
Mike Mignola, Richard Corben, Kevin Nowlan, Others The world's greatest paranormal investigator takes on a carnivorous house, space aliens, a vampire luchador, a vengeful lion demon, and more in this collection featuring the work of comic greats Mike Mignola, Richard Corben, Kevin Nowlan, and Scott Hampton!
B.P.R.D.: Plague of Frogs Collection, Vol. 1
Mike Mignola, Guy Davis In 2001, Hellboy quit the B.P.R.D., leaving Abe Sapien to lead Liz Sherman and a bizarre roster of special agents, defending the world from occult threats, including the growing menace of the frog army, first spotted in Hellboy: Seed of Destruction. Mike Mignola and Dark Horse present the complete Plague of Frogs saga, from Hollow Earth to The King of Fear. The first book re-establishes the Bureau for Paranormal Research and Defense after Hellboy's departure, cracks open the secrets of Abe Sapien's origin, and sets the War on Frogs in motion.Hellboy creator Mike Mignola teams with co-writers Christopher Golden (Baltimore), Geoff Johns (Blackest Night), Tom Sniegoski (Buffy the Vampire Slayer), and others for occult adventure rendered by Ryan Sook (X-Factor), Cameron Stewart (Seaguy), Scott Kolins (The Flash), and, making his Hellboy-universe debut, longtime award-winning B.P.R.D. artist Guy Davis!
Hellboy, Vol. 10: The Crooked Man and Others
Mike Mignola, Joshua Dysart, Richard Corben, Jason Shawn Alexander, Duncan Fegredo, Dave Stewart The Eisner Award-winning mini-series The Crooked Man, by Mignola and Richard Corben, teams Hellboy with a wandering hillman in a devilish tale of Appalachian witchcraft. This volume also includes the rare "They Who Go Down to the Sea in Ships" by Mignola, Josh Dysart (B.P.R.D.: 1947), and Jason Shawn Alexander (Abe Sapien: The Drowning), never before available for purchase; Mignola and Duncan Fegredo's "The Mole," from Free Comic Book Day 2008; and Mignola's most recent solo outing, "In the Chapel of Moloch."
Hellboy, Vol. 9: The Wild Hunt
Mike Mignola, Duncan Fegredo When ancient giants begin to reawaken in the British Isles, Hellboy is invited to join an ancient band of fellow monster hunters called the Wild Hunt and help bring them down. But an unexpected betrayal sends Hellboy after a quarry far more deadly: the Queen of Blood, first seen in 2007's best-selling Hellboy: Darkness Calls. This newly reborn evil has her murderous sights set on all of humanity, and the only way Hellboy can stop her is to finally confront the truth about his own dark heritage.
Hellboy, Vol. 8: Darkness Calls
Mike Mignola, Duncan Fegredo, Dave Stewart Hellboy has finally returned from his adventures at sea, but no sooner has he settled on land than a conclave of witches drags him from his respite and into the heart of Russian folklore, where he becomes the quarry of the powerful and bloodthirsty witch Baba Yaga. Bent on revenge for the eye she had lost to Hellboy, Baba Yaga has enlisted the aid of a deathless warrior who will stop at nothing to destroy Hellboy. Creator Mike Mignola turns over drawing duties to Duncan Fegredo (Enigma, Ultimate Adventures) for a new chapter in the life of the World's Greatest Paranormal Investigator. Hellboy: Darkness Calls collects the entire six-issue miniseries, along with two new epilogues-one drawn by Mignola, and one by Fegredo-and an extensive sketchbook section from both artists and includes many plot elements from the major motion picture, Hellboy 2: The Golden Army, directed by Academy Award winner, Guillermo del Toro and slated for release in July 2008!
Hellboy Volume 12: The Storm and The Fury
Mike Mignola, Duncan Fegredo, Dave Stewart Mike Mignola and Duncan Fegredo conclude their epic collaboration that began in 2007''s Darkness Calls - a saga that changes everything for Hellboy! In The Storm and the Fury, Hellboy cuts a deal with the devious Baba Yaga that may secure the survival of mankind in this follow-up to 2009''s lauded Hellboy: The Wild Hunt. But when war ensues between the forces of good and evil, Hellboy must finally confront the Queen of Blood in a battle which will set the stage for a new chapter in Hellboy''s life!
Le Cycle des épées
Mike Mignola, Fritz Leiber
Witchfinder: In the Service of Angels
Mike Mignola, Ben Stenbeck, Dave Stewart Mike Mignola teams up with artist Ben Stenbeck (B.P.R.D.: The Ectoplasmic Man) for a look into one of the Hellboy universe's greatest enigmas: nineteenth-century occult investigator Edward Grey! In one of Grey's first cases as an agent of the queen, he goes from the sparkling echelons of Victorian London to its dark underbelly, facing occult conspiracies, a rampaging monster, and the city's most infamous secret society: the Heliopic Brotherhood of Ra.
Hard Boiled, intégral
Miller, Darrow, Legris
The Hard Goodbye
Frank Miller The first volume of the crime-comic megahit that introduced the now-infamous character Marv and spawned a blockbuster film returns in a newly redesigned edition, with a brand-new cover by Frank Miller - some of his first comics art in years! It's a lousy room in a lousy part of a lousy town. But Marv doesn't care. There's an angel in the room. She says her name is Goldie. A few hours later, Goldie's dead without a mark on her perfect body, and the cops are coming before anyone but Marv could know she's been killed. Somebody paid good money for this frame . . . With a new look generating more excitement than ever before, this third edition is the perfect way to attract a whole new generation of readers to Frank Miller's masterpiece!
Sin City Volume 2: A Dame to Kill For
Frank Miller The second volume of Frank Miller's signature series is now planned as the lead story in the upcoming Sin City 2! This newly redesigned edition sports a new cover by Miller - some of his first comics art in years! Stuck with nothing but a seedy gumshoe job and some demons, Dwight's thinking of all the ways he's screwed up and what he'd give for one clear chance to wipe the slate clean, to dig his way out of the numb gray hell that is his life. And he'd give anything. Just to feel the fire. One more time. But he can't let himself lose control again, can't ever let the monster out. And then Ava calls. With a new look generating more excitement than ever before, this third edition is the perfect way to attract a whole new generation of readers to Frank Miller's masterpiece!
Sin City Volume 4: That Yellow Bastard
Frank Miller Frank Miller changes the game in the fourth volume of his signature crime series, introducing the only truly heroic figure in Sin City's world of vice, Detective Hartigan. A highlight of the series, and the inspiration for one of the segments of the blockbuster Sin City film, That Yellow Bastard returns in a newly redesigned edition, with a brand-new cover by Miller - some of his first comics art in years! The worst thing to be in Basin City is an honest cop, but it's Hartigan's last day on the job, and he plans to go out with a bang. Little Nancy Callahan, age eleven, has been kidnapped by a psycho who likes to hear children scream, and Hartigan's going to find her no matter what it takes. Hell of a way to start retirement . . . With a new look generating more excitement than ever before, this third edition is the perfect way to attract a whole new generation of readers to Frank Miller's masterpiece!
Sin City Volume 3: The Big Fat Kill
Frank Miller One of "Sin City's" most fascinatingly conflicted characters, Dwight, returns in "The Big Fat Kill", the third volume of Frank Miller's seminal noir comic and the inspiration for one of the segments of the blockbuster "Sin City" film! This third edition is newly redesigned and features a brand-new cover by Miller - some of his first comics art in years! For Dwight, sometimes standing up for his friends means killing a whole lot of people. Not for revenge. Not because they deserve it. Not because it'll make the world a better place. There's nothing righteous or noble about it. Dwight's gotta kill them because he needs them dead. With a new look generating more excitement than ever before, this third edition is the perfect way to attract a whole new generation of readers to Frank Miller's masterpiece!
Sin City Volume 5: Family Values
Frank Miller Frank Miller's first-ever original graphic novel is one of Sin City's nastiest yarns to date! Starring fan-favorite characters Dwight and Miho, this newly redesigned edition sports a brand-new cover by Miller, some of his first comics art in years! There's a kind of debt you can't ever pay off, not entirely. And that's the kind of debt Dwight owes Gail. The girls of Old Town have their own family values, their own laws, and when someone too dumb to know better breaks them, an example needs to be set. Dwight's got his own reasons for taking the job, and deadly little Miho . . . Miho likes to play with them a little first. With a new look generating more excitement than ever before, this third edition is the perfect way to attract a whole new generation of readers to Frank Miller's masterpiece!
Sin City Volume 6: Booze, Broads, & Bullets
Frank Miller The Sin City graphic novels are among the most widely acclaimed comics in history, but Frank Miller is also a master of the quick and dirty yarn. Collected in this sixth volume of his crime-comic megahit are all of Miller's Sin City shorts and one-shots, newly redesigned with a brand-new cover by Miller, some of his first comics art in years! Collecting classics like "Just Another Saturday Night" and "Silent Night," both starring the iconic big lug with a condition, Marv; "The Customer Is Always Right," featured in the Sin City film; and "The Babe Wore Red," starring Sin City's most enduring hero, Dwight, Booze, Broads, and Bullets spans every kind of dark business you might encounter on a cold night in Basin City. It's sure to scratch your Sin City itch again and again, in just that way that makes you itch for more. With Miller and co-director Robert Rodriguez gearing up for Sin City 2, this third edition is being released at just the right time!
Sin City Volume 7: Hell and Back
Frank Miller Hell and Back, the final volume of Frank Miller's signature series, is the biggest and baddest Sin City of them all! This newly redesigned edition features a brand-new cover by Miller - some of his first comics art in years! It's one of those clear, cool nights that drops in the middle of summer like a gift from on high. If it weren't for the rent, Wallace wouldn't have a care in the world. Then he sees Esther, about to throw it all away - and throw herself off a cliff. Wallace jumps in after her, saves her life, and falls in love, but before he can find out what she was running from, she's gone again, kidnapped. But Wallace isn't the kind to lose his head. He's calm. Like a monk. Like an executioner. And he'll find her. With a new look generating more excitement than ever before, this third edition is the perfect way to attract a whole new generation of readers to Frank Miller's masterpiece!
Face
Peter Milligan
Enigma
Peter Milligan
Major fatal
Moebius
Les jardins d'Edena
Moebius
La déesse
Moebius
Sur l'étoile
Moebius
Folles perspectives ( carnet de bord 1992 - 1995 )
Moebius
Arzach
Moebius C'est un étrange cavalier. Juché sur un drôle d'oiseau qui semble sorti tout droit de la préhistoire, il traverse des paysages intemporels. Son nom ? Arzach. Nul ne sait d'où il vient, ni quel est son but. Créé en 1975 dans le magazine Métal hurlant, le personnage est issu de l'imagination féconde de l'un des plus fameux auteurs de bande dessinée : Jean Giraud, alias Moebius. Giraud s'est fait connaître avec les aventures du lieutenant Blueberry, un western qu'il a commencé à dessiner d'après les scénarios de Charlier et qu'il poursuit aujourd'hui en solo. En parallèle, il a bâti sous le nom de Moebius une oeuvre personnelle originale, teintée de fantastique et d'onirisme. Avec Arzach, l'auteur a voulu "plonger dans des mondes étranges, au-delà du visible".

Le résultat est envoûtant. Bande dessinée muette, sans dialogues ni scénario, Arzach intrigue, amuse, déconcerte. Et fascine par la puissance du trait de Moebius. Un jalon essentiel de l'histoire de la bande dessinée. —Gilbert Jacques
Major Fatal, volume 2 : L'Homme de Ciguri
Moebius
Le Chasseur Déprime, Tome 1 :
Moebius
Arzak, Tome 1 : L'arpenteur
Moebius
Moebius oeuvres : Les années métal hurlant
Moebius
Moebius Transe Forme
Moebius, Collectif
2001 après jesus christ
Moebius, JL Coudray
Les mysteres de l'Incal
Moebius, Alejandro Jodorowsky, Jean Annestay
Après l'Incal. 1, Le nouveau rêve
Moebius, Alexandro Jodorowsky Attention, événement ! John Difool, "minable détective privé de classe R", est de retour... Et, avec lui, le monde de L'Incal, oeuvre majeure de la bande dessinée de science-fiction des années quatre-vingt. Publiée dans le magazine Métal hurlant, cette épopée est née de la rencontre entre l'imagination bouillonnante du scénariste Alexandro Jodorowsky et le dessin de Moebius (pseudonyme de Jean Giraud, le dessinateur de Blueberry). Une somme de six volumes mêlant fantastique, ésotérisme, psychanalyse, humour et critique sociale. Un classique, tout simplement. Cette fois, le pauvre Difool est confronté au mystérieux virus métallique. Et à un destin décidément bien trop grand pour lui...

Jodorowsky avait déjà enrichi l'épopée de L'Incal avec la Caste des Méta-Barons et les six épisodes d'Avant L'Incal. Ce nouveau cycle, logiquement baptisé Après L'Incal, forme donc la dernière partie du triptyque imaginé et rêvé par le scénariste... Ensuite, Difool pourra souffler un peu. En attendant, les "emmerdements de taille réellement cosmique" continuent pour lui... —Philippe Actère
L'Incal : L'Intégrale
Moebius, Alexandro Jodorowsky
L'Incal, Tome 1 : L'incal noir
Moebius, Alexandro Jodorowsky
La folle du Sacré-Coeur
Moebius, Alexandro Jodorowsky
Moebius
Moebius, Numa Sadoul
Les yeux du chat
Moebius , Jodorowsky Alejandro
La mémoire de l'âme.
Moebius , Launier
Inside moebius 2
JEAN GIRAUD MOEBIUS
Inside moebius 3
JEAN GIRAUD MOEBIUS
Inside moebius 4
JEAN GIRAUD MOEBIUS
Inside moebius 5
JEAN GIRAUD MOEBIUS
Inside moebius 1
JEAN GIRAUD MOEBIUS
Inside moebius 6
JEAN GIRAUD MOEBIUS
Watchmen : Les Gardiens
Alan Moore On supprime le Comédien et, soudain, le monde devient triste. Quand l'un des plus grands héros de la Terre à la retraite est tué par un mystérieux assassin, les autres “rescapés” de la scène super-héroïque reprennent du service et mènent l'enquête, alors que la planète est au bord d'une catastrophe nucléaire… Alan Moore et Dave Gibbons ont imaginé ce qui est considéré par de nombreux critiques et lecteurs comme “l'une des meilleures bandes dessinées jamais créées”, “un chef-d'œuvre, sommet du genre”, entre autres termes élogieux.
La ligue des gentlemen extraordinaires, Tome 1 :
Alan Moore, Kevin O'Neill Avec l'avènement du film Watchmen et le succès en librairie des trois versions du comic, 2009 est sans aucun doute l'année d'Alan Moore. C’était donc l'occasion idéale de présenter l'une des plus grandes œuvres du maître : La Ligue des gentlemen extraordinaires. Retrouvez, ou découvrez, dans une nouvelle collection créée pour l'occasion, cette équipe atypique réunissant certains des plus grands héros de la littérature, tels Allan Quatermain, le Docteur Jekyll et le Capitaine Nemo. Ils affrontent le célèbre Fu Manchu et tentent de percer le secret de l’identité du fameux Monsieur M, cet homme mystérieux qui les a tous recrutés.
The Invisibles Vol. 1: Say You Want a Revolution
Grant Morrison
The Invisibles Vol. 2: Apocalipstick
Grant Morrison The Invisibles, Grant Morrison's brilliant series of magickal underground tales, exposes the naked spirituality of good and evil throughgut-wrenching, psychedelic violence. Apocalipstick, the collected issues from midway through volume 1, tracks the career of new kid Jack Frost after he runs away from his wary pals in the Invisibles to come to terms with his power and his adulthood. Along the way we see humans hunted for sport, interdimensional monsters that would make H.P. Lovecraft puke, and a leisurely look at Lord Fanny's childhood. The penciling, always appropriate to Morrison's moods, ranges from brutal scratchings to startling clear drawings. While it's probably true that comics, like literature generally, can't be truly subversive any more, Apocalipstick shows how it could be done. —Rob Lightner
Helldorado : L'intégrale
Morvan, Noé, Dragan
Alack Sinner l'Intégrale, Tome 1 : L'âge de l'innocence
José Muñoz, Carlos Sampayo
Aberzen, Tome 2 : Plusieurs noms pour le bleu
N'Guessan, Gibelin
Aberzen, tome 1 : Commencer par mourir
Marc N'Guessan
Simon Dark, Tome 2 : Cendres
Steve Niles, Scott Hampton
Akira t. 10 : revanche
Otomo Néo-Tokyo, an 2019. Nous sommes trente-huit ans après la troisième Guerre mondiale. Le grand cataclysme a dévasté la planète. Depuis, le monde a entamé sa reconstruction. La capitale japonaise n'est plus qu'une espèce de gigantesque poubelle high-tech.
Une nuit, une bande de jeunes motards fait une rencontre étrange : celle d'un enfant au visage de vieillard, doté de bien curieux pouvoirs. Ils ne le savent pas encore, mais le processus de réveil d'Akira vient de commencer... Sombre vision d'un futur aux allures d'apocalypse, Akira dépeint une société en perdition livrée aux enfants mutants, aux sectes religieuses et aux forces surnaturelles. Avec son sens du mouvement et de la vitesse, le dynamisme de son graphisme et son hyperréalisme, cette saga, entamée en 1982, est l'une des oeuvres majeures de l'histoire des mangas. Elle est née de l'imagination de Katsuhiro Otomo, un auteur qui a largement contribué à faire reconnaître le genre hors des frontières de son pays natal. —Gilbert Jacques
Akira
Katsuhiro Otomo Néo-Tokyo, an 2019. Nous sommes trente-huit ans après la troisième Guerre mondiale. Le grand cataclysme a dévasté la planète. Depuis, le monde a entamé sa reconstruction. La capitale japonaise n'est plus qu'une espèce de gigantesque poubelle high-tech.
Une nuit, une bande de jeunes motards fait une rencontre étrange : celle d'un enfant au visage de vieillard, doté de bien curieux pouvoirs. Ils ne le savent pas encore, mais le processus de réveil d'Akira vient de commencer... Sombre vision d'un futur aux allures d'apocalypse, Akira dépeint une société en perdition livrée aux enfants mutants, aux sectes religieuses et aux forces surnaturelles. Avec son sens du mouvement et de la vitesse, le dynamisme de son graphisme et son hyperréalisme, cette saga, entamée en 1982, est l'une des oeuvres majeures de l'histoire des mangas. Elle est née de l'imagination de Katsuhiro Otomo, un auteur qui a largement contribué à faire reconnaître le genre hors des frontières de son pays natal. —Gilbert Jacques
Akira, tome 9 : Visions
Katsuhiro Otomo Néo-Tokyo, an 2019. Nous sommes trente-huit ans après la troisième Guerre mondiale. Le grand cataclysme a dévasté la planète. Depuis, le monde a entamé sa reconstruction. La capitale japonaise n'est plus qu'une espèce de gigantesque poubelle high-tech.
Une nuit, une bande de jeunes motards fait une rencontre étrange : celle d'un enfant au visage de vieillard, doté de bien curieux pouvoirs. Ils ne le savent pas encore, mais le processus de réveil d'Akira vient de commencer... Sombre vision d'un futur aux allures d'apocalypse, Akira dépeint une société en perdition livrée aux enfants mutants, aux sectes religieuses et aux forces surnaturelles. Avec son sens du mouvement et de la vitesse, le dynamisme de son graphisme et son hyperréalisme, cette saga, entamée en 1982, est l'une des oeuvres majeures de l'histoire des mangas. Elle est née de l'imagination de Katsuhiro Otomo, un auteur qui a largement contribué à faire reconnaître le genre hors des frontières de son pays natal. —Gilbert Jacques
Akira
Katsuhiro Otomo Néo-Tokyo, an 2019. Nous sommes trente-huit ans après la troisième Guerre mondiale. Le grand cataclysme a dévasté la planète. Depuis, le monde a entamé sa reconstruction. La capitale japonaise n'est plus qu'une espèce de gigantesque poubelle high-tech.
Une nuit, une bande de jeunes motards fait une rencontre étrange : celle d'un enfant au visage de vieillard, doté de bien curieux pouvoirs. Ils ne le savent pas encore, mais le processus de réveil d'Akira vient de commencer... Sombre vision d'un futur aux allures d'apocalypse, Akira dépeint une société en perdition livrée aux enfants mutants, aux sectes religieuses et aux forces surnaturelles. Avec son sens du mouvement et de la vitesse, le dynamisme de son graphisme et son hyperréalisme, cette saga, entamée en 1982, est l'une des oeuvres majeures de l'histoire des mangas. Elle est née de l'imagination de Katsuhiro Otomo, un auteur qui a largement contribué à faire reconnaître le genre hors des frontières de son pays natal. —Gilbert Jacques
Lupus
Frederik Peeters
Ruminations
Fréderik Peeters Ce recueil nous permet de découvrir ses premiers récits publiés chez Atrabile ou l'Association entre autres.
Ils sont classés par ordre chronologique ce qui permet de découvrir l'évolution de cet auteur.
Bien sûr les récits ne sont pas tous du même niveau, mais il y a quelques pépites.
La narration est le point fort de Peeters. Il a une imagination débordante. Les récits passent de la fiction au roman autobiographique et passent par tous les genres.
Fête des morts
Stéphane Piatzszek, Olivier Cinna
La Marche du crabe, tome 1 : La Condition des crabes
Arthur de Pins
La Marche du crabe, Tome 2 : L'Empire des crabes
Arthur De Pins
Batman harvest breed
Pratt
Corto Maltese : Fable de Venise
Hugo Pratt Costume de marin, cheveux bruns, anneau à l'oreille gauche. La silhouette élancée et élégante. Une lueur d'amusement et d'ironie bienveillante dans le regard. L'air de se tenir à distance. L'art d'observer choses et gens avec détachement. Certains le disent pirate. Lui se prétend gentilhomme de fortune... Ainsi apparaît Corto Maltese, fils d'une gitane andalouse et d'un marin des Cornouailles. Une gueule, une personnalité, un destin. Une légende de la bande dessinée devenue légende tout court. Certes, Corto est une créature de papier, inventée par le grand Hugo Pratt. Mais à force de le voir hanter notre imaginaire, on finit par s'interroger. Et s'il avait réellement existé ? Et si Pratt ne s'était fait que le dépositaire de ses souvenirs, l'humble biographe d'une destinée trop belle pour n'être qu'une simple fiction ?

Corto Maltese voit le jour en 1967, dans La Ballade de la mer salée. Piètres débuts : quand le lecteur fait sa connaissance, il est torse nu, pas rasé, pieds et mains attachés à un radeau grossier, en train de dériver au gré des courants du Pacifique. Mais très vite, Hugo Pratt en fait son personnage fétiche et lui offre une vie hors du commun. Corto a traversé le siècle et parcouru le vaste monde. Sa route a croisé celles de grandes figures de l'Histoire. Il s'est initié aux mystères de l'ésotérisme, frotté aux secrets de la kabbale et de la franc-maçonnerie. Mais s'est toujours voulu un homme libre, refusant tout embrigadement, gardant ses distances avec les dogmes et les drapeaux de toutes sortes. Un homme également libre de tout engagement avec les femmes, même si elles occupent une place essentielle dans l'existence de cet incorrigible romantique. Et puis, un jour des années trente, quelque part du côté de l'Espagne, alors que tonnent les canons de la guerre civile, on perd sa trace. Corto, pourtant, n'est pas mort. Il s'est simplement retiré pour achever sa vie près de l'océan Pacifique, à l'abri du tumulte du monde.

Mais Corto Maltese reste à jamais présent pour ses lecteurs, qui puisent dans les livres d'Hugo Pratt de quoi nourrir leurs rêves d'ailleurs. —Gilbert Jacques
Corto Maltese : Les Helvétiques
Hugo Pratt Costume de marin, cheveux bruns, anneau à l'oreille gauche. La silhouette élancée et élégante. Une lueur d'amusement et d'ironie bienveillante dans le regard. L'air de se tenir à distance. L'art d'observer choses et gens avec détachement. Certains le disent pirate. Lui se prétend gentilhomme de fortune... Ainsi apparaît Corto Maltese, fils d'une gitane andalouse et d'un marin des Cornouailles. Une gueule, une personnalité, un destin. Une légende de la bande dessinée devenue légende tout court. Certes, Corto est une créature de papier, inventée par le grand Hugo Pratt. Mais à force de le voir hanter notre imaginaire, on finit par s'interroger. Et s'il avait réellement existé ? Et si Pratt ne s'était fait que le dépositaire de ses souvenirs, l'humble biographe d'une destinée trop belle pour n'être qu'une simple fiction ?

Corto Maltese voit le jour en 1967, dans La Ballade de la mer salée. Piètres débuts : quand le lecteur fait sa connaissance, il est torse nu, pas rasé, pieds et mains attachés à un radeau grossier, en train de dériver au gré des courants du Pacifique. Mais très vite, Hugo Pratt en fait son personnage fétiche et lui offre une vie hors du commun. Corto a traversé le siècle et parcouru le vaste monde. Sa route a croisé celles de grandes figures de l'Histoire. Il s'est initié aux mystères de l'ésotérisme, frotté aux secrets de la kabbale et de la franc-maçonnerie. Mais s'est toujours voulu un homme libre, refusant tout embrigadement, gardant ses distances avec les dogmes et les drapeaux de toutes sortes. Un homme également libre de tout engagement avec les femmes, même si elles occupent une place essentielle dans l'existence de cet incorrigible romantique. Et puis, un jour des années trente, quelque part du côté de l'Espagne, alors que tonnent les canons de la guerre civile, on perd sa trace. Corto, pourtant, n'est pas mort. Il s'est simplement retiré pour achever sa vie près de l'océan Pacifique, à l'abri du tumulte du monde.

Mais Corto Maltese reste à jamais présent pour ses lecteurs, qui puisent dans les livres d'Hugo Pratt de quoi nourrir leurs rêves d'ailleurs. —Gilbert Jacques
Morgan
Hugo Pratt
La Ballade de la mer salée
Hugo Pratt Costume de marin, cheveux bruns, anneau à l'oreille gauche. La silhouette élancée et élégante. Une lueur d'amusement et d'ironie bienveillante dans le regard. L'air de se tenir à distance. L'art d'observer choses et gens avec détachement. Certains le disent pirate. Lui se prétend gentilhomme de fortune... Ainsi apparaît Corto Maltese, fils d'une gitane andalouse et d'un marin des Cornouailles. Une gueule, une personnalité, un destin. Une légende de la bande dessinée devenue légende tout court. Certes, Corto est une créature de papier, inventée par le grand Hugo Pratt. Mais à force de le voir hanter notre imaginaire, on finit par s'interroger. Et s'il avait réellement existé ? Et si Pratt ne s'était fait que le dépositaire de ses souvenirs, l'humble biographe d'une destinée trop belle pour n'être qu'une simple fiction ?

Corto Maltese voit le jour en 1967, dans La Ballade de la mer salée. Piètres débuts : quand le lecteur fait sa connaissance, il est torse nu, pas rasé, pieds et mains attachés à un radeau grossier, en train de dériver au gré des courants du Pacifique. Mais très vite, Hugo Pratt en fait son personnage fétiche et lui offre une vie hors du commun. Corto a traversé le siècle et parcouru le vaste monde. Sa route a croisé celles de grandes figures de l'Histoire. Il s'est initié aux mystères de l'ésotérisme, frotté aux secrets de la kabbale et de la franc-maçonnerie. Mais s'est toujours voulu un homme libre, refusant tout embrigadement, gardant ses distances avec les dogmes et les drapeaux de toutes sortes. Un homme également libre de tout engagement avec les femmes, même si elles occupent une place essentielle dans l'existence de cet incorrigible romantique. Et puis, un jour des années trente, quelque part du côté de l'Espagne, alors que tonnent les canons de la guerre civile, on perd sa trace. Corto, pourtant, n'est pas mort. Il s'est simplement retiré pour achever sa vie près de l'océan Pacifique, à l'abri du tumulte du monde.

Mais Corto Maltese reste à jamais présent pour ses lecteurs, qui puisent dans les livres d'Hugo Pratt de quoi nourrir leurs rêves d'ailleurs. —Gilbert Jacques
Les Celtiques
Hugo Pratt Costume de marin, cheveux bruns, anneau à l'oreille gauche. La silhouette élancée et élégante. Une lueur d'amusement et d'ironie bienveillante dans le regard. L'air de se tenir à distance. L'art d'observer choses et gens avec détachement. Certains le disent pirate. Lui se prétend gentilhomme de fortune... Ainsi apparaît Corto Maltese, fils d'une gitane andalouse et d'un marin des Cornouailles. Une gueule, une personnalité, un destin. Une légende de la bande dessinée devenue légende tout court. Certes, Corto est une créature de papier, inventée par le grand Hugo Pratt. Mais à force de le voir hanter notre imaginaire, on finit par s'interroger. Et s'il avait réellement existé ? Et si Pratt ne s'était fait que le dépositaire de ses souvenirs, l'humble biographe d'une destinée trop belle pour n'être qu'une simple fiction ?

Corto Maltese voit le jour en 1967, dans La Ballade de la mer salée. Piètres débuts : quand le lecteur fait sa connaissance, il est torse nu, pas rasé, pieds et mains attachés à un radeau grossier, en train de dériver au gré des courants du Pacifique. Mais très vite, Hugo Pratt en fait son personnage fétiche et lui offre une vie hors du commun. Corto a traversé le siècle et parcouru le vaste monde. Sa route a croisé celles de grandes figures de l'Histoire. Il s'est initié aux mystères de l'ésotérisme, frotté aux secrets de la kabbale et de la franc-maçonnerie. Mais s'est toujours voulu un homme libre, refusant tout embrigadement, gardant ses distances avec les dogmes et les drapeaux de toutes sortes. Un homme également libre de tout engagement avec les femmes, même si elles occupent une place essentielle dans l'existence de cet incorrigible romantique. Et puis, un jour des années trente, quelque part du côté de l'Espagne, alors que tonnent les canons de la guerre civile, on perd sa trace. Corto, pourtant, n'est pas mort. Il s'est simplement retiré pour achever sa vie près de l'océan Pacifique, à l'abri du tumulte du monde.

Mais Corto Maltese reste à jamais présent pour ses lecteurs, qui puisent dans les livres d'Hugo Pratt de quoi nourrir leurs rêves d'ailleurs. —Gilbert Jacques
Corto en Sibérie
Hugo Pratt Costume de marin, cheveux bruns, anneau à l'oreille gauche. La silhouette élancée et élégante. Une lueur d'amusement et d'ironie bienveillante dans le regard. L'air de se tenir à distance. L'art d'observer choses et gens avec détachement. Certains le disent pirate. Lui se prétend gentilhomme de fortune... Ainsi apparaît Corto Maltese, fils d'une gitane andalouse et d'un marin des Cornouailles. Une gueule, une personnalité, un destin. Une légende de la bande dessinée devenue légende tout court. Certes, Corto est une créature de papier, inventée par le grand Hugo Pratt. Mais à force de le voir hanter notre imaginaire, on finit par s'interroger. Et s'il avait réellement existé ? Et si Pratt ne s'était fait que le dépositaire de ses souvenirs, l'humble biographe d'une destinée trop belle pour n'être qu'une simple fiction ?

Corto Maltese voit le jour en 1967, dans La Ballade de la mer salée. Piètres débuts : quand le lecteur fait sa connaissance, il est torse nu, pas rasé, pieds et mains attachés à un radeau grossier, en train de dériver au gré des courants du Pacifique. Mais très vite, Hugo Pratt en fait son personnage fétiche et lui offre une vie hors du commun. Corto a traversé le siècle et parcouru le vaste monde. Sa route a croisé celles de grandes figures de l'Histoire. Il s'est initié aux mystères de l'ésotérisme, frotté aux secrets de la kabbale et de la franc-maçonnerie. Mais s'est toujours voulu un homme libre, refusant tout embrigadement, gardant ses distances avec les dogmes et les drapeaux de toutes sortes. Un homme également libre de tout engagement avec les femmes, même si elles occupent une place essentielle dans l'existence de cet incorrigible romantique. Et puis, un jour des années trente, quelque part du côté de l'Espagne, alors que tonnent les canons de la guerre civile, on perd sa trace. Corto, pourtant, n'est pas mort. Il s'est simplement retiré pour achever sa vie près de l'océan Pacifique, à l'abri du tumulte du monde.

Mais Corto Maltese reste à jamais présent pour ses lecteurs, qui puisent dans les livres d'Hugo Pratt de quoi nourrir leurs rêves d'ailleurs. —Gilbert Jacques
Corto toujours un peu plus loin
Hugo Pratt
Corto Maltese: Les Ethiopiques
Hugo Pratt Costume de marin, cheveux bruns, anneau à l'oreille gauche. La silhouette élancée et élégante. Une lueur d'amusement et d'ironie bienveillante dans le regard. L'air de se tenir à distance. L'art d'observer choses et gens avec détachement. Certains le disent pirate. Lui se prétend gentilhomme de fortune... Ainsi apparaît Corto Maltese, fils d'une gitane andalouse et d'un marin des Cornouailles. Une gueule, une personnalité, un destin. Une légende de la bande dessinée devenue légende tout court. Certes, Corto est une créature de papier, inventée par le grand Hugo Pratt. Mais à force de le voir hanter notre imaginaire, on finit par s'interroger. Et s'il avait réellement existé ? Et si Pratt ne s'était fait que le dépositaire de ses souvenirs, l'humble biographe d'une destinée trop belle pour n'être qu'une simple fiction ?

Corto Maltese voit le jour en 1967, dans La Ballade de la mer salée. Piètres débuts : quand le lecteur fait sa connaissance, il est torse nu, pas rasé, pieds et mains attachés à un radeau grossier, en train de dériver au gré des courants du Pacifique. Mais très vite, Hugo Pratt en fait son personnage fétiche et lui offre une vie hors du commun. Corto a traversé le siècle et parcouru le vaste monde. Sa route a croisé celles de grandes figures de l'Histoire. Il s'est initié aux mystères de l'ésotérisme, frotté aux secrets de la kabbale et de la franc-maçonnerie. Mais s'est toujours voulu un homme libre, refusant tout embrigadement, gardant ses distances avec les dogmes et les drapeaux de toutes sortes. Un homme également libre de tout engagement avec les femmes, même si elles occupent une place essentielle dans l'existence de cet incorrigible romantique. Et puis, un jour des années trente, quelque part du côté de l'Espagne, alors que tonnent les canons de la guerre civile, on perd sa trace. Corto, pourtant, n'est pas mort. Il s'est simplement retiré pour achever sa vie près de l'océan Pacifique, à l'abri du tumulte du monde.

Mais Corto Maltese reste à jamais présent pour ses lecteurs, qui puisent dans les livres d'Hugo Pratt de quoi nourrir leurs rêves d'ailleurs. —Gilbert Jacques
Corto Maltese: Mu
Hugo Pratt Costume de marin, cheveux bruns, anneau à l'oreille gauche. La silhouette élancée et élégante. Une lueur d'amusement et d'ironie bienveillante dans le regard. L'air de se tenir à distance. L'art d'observer choses et gens avec détachement. Certains le disent pirate. Lui se prétend gentilhomme de fortune... Ainsi apparaît Corto Maltese, fils d'une gitane andalouse et d'un marin des Cornouailles. Une gueule, une personnalité, un destin. Une légende de la bande dessinée devenue légende tout court. Certes, Corto est une créature de papier, inventée par le grand Hugo Pratt. Mais à force de le voir hanter notre imaginaire, on finit par s'interroger. Et s'il avait réellement existé ? Et si Pratt ne s'était fait que le dépositaire de ses souvenirs, l'humble biographe d'une destinée trop belle pour n'être qu'une simple fiction ?

Corto Maltese voit le jour en 1967, dans La Ballade de la mer salée. Piètres débuts : quand le lecteur fait sa connaissance, il est torse nu, pas rasé, pieds et mains attachés à un radeau grossier, en train de dériver au gré des courants du Pacifique. Mais très vite, Hugo Pratt en fait son personnage fétiche et lui offre une vie hors du commun. Corto a traversé le siècle et parcouru le vaste monde. Sa route a croisé celles de grandes figures de l'Histoire. Il s'est initié aux mystères de l'ésotérisme, frotté aux secrets de la kabbale et de la franc-maçonnerie. Mais s'est toujours voulu un homme libre, refusant tout embrigadement, gardant ses distances avec les dogmes et les drapeaux de toutes sortes. Un homme également libre de tout engagement avec les femmes, même si elles occupent une place essentielle dans l'existence de cet incorrigible romantique. Et puis, un jour des années trente, quelque part du côté de l'Espagne, alors que tonnent les canons de la guerre civile, on perd sa trace. Corto, pourtant, n'est pas mort. Il s'est simplement retiré pour achever sa vie près de l'océan Pacifique, à l'abri du tumulte du monde.

Mais Corto Maltese reste à jamais présent pour ses lecteurs, qui puisent dans les livres d'Hugo Pratt de quoi nourrir leurs rêves d'ailleurs. —Gilbert Jacques
Corto Maltese: Tango
Hugo Pratt Costume de marin, cheveux bruns, anneau à l'oreille gauche. La silhouette élancée et élégante. Une lueur d'amusement et d'ironie bienveillante dans le regard. L'air de se tenir à distance. L'art d'observer choses et gens avec détachement. Certains le disent pirate. Lui se prétend gentilhomme de fortune... Ainsi apparaît Corto Maltese, fils d'une gitane andalouse et d'un marin des Cornouailles. Une gueule, une personnalité, un destin. Une légende de la bande dessinée devenue légende tout court. Certes, Corto est une créature de papier, inventée par le grand Hugo Pratt. Mais à force de le voir hanter notre imaginaire, on finit par s'interroger. Et s'il avait réellement existé ? Et si Pratt ne s'était fait que le dépositaire de ses souvenirs, l'humble biographe d'une destinée trop belle pour n'être qu'une simple fiction ?

Corto Maltese voit le jour en 1967, dans La Ballade de la mer salée. Piètres débuts : quand le lecteur fait sa connaissance, il est torse nu, pas rasé, pieds et mains attachés à un radeau grossier, en train de dériver au gré des courants du Pacifique. Mais très vite, Hugo Pratt en fait son personnage fétiche et lui offre une vie hors du commun. Corto a traversé le siècle et parcouru le vaste monde. Sa route a croisé celles de grandes figures de l'Histoire. Il s'est initié aux mystères de l'ésotérisme, frotté aux secrets de la kabbale et de la franc-maçonnerie. Mais s'est toujours voulu un homme libre, refusant tout embrigadement, gardant ses distances avec les dogmes et les drapeaux de toutes sortes. Un homme également libre de tout engagement avec les femmes, même si elles occupent une place essentielle dans l'existence de cet incorrigible romantique. Et puis, un jour des années trente, quelque part du côté de l'Espagne, alors que tonnent les canons de la guerre civile, on perd sa trace. Corto, pourtant, n'est pas mort. Il s'est simplement retiré pour achever sa vie près de l'océan Pacifique, à l'abri du tumulte du monde.

Mais Corto Maltese reste à jamais présent pour ses lecteurs, qui puisent dans les livres d'Hugo Pratt de quoi nourrir leurs rêves d'ailleurs. —Gilbert Jacques
Sous le signe du Capricorne
Hugo Pratt
Corto, Tome 1 : La jeunesse
Hugo Pratt
Corto, Tome 2 : La ballade de la mer salée
Hugo Pratt
Corto Maltese : Littérature dessinée
Hugo Pratt
Corto Maltese : La Maison dorée de Samarkand
Hugo Pratt Costume de marin, cheveux bruns, anneau à l'oreille gauche. La silhouette élancée et élégante. Une lueur d'amusement et d'ironie bienveillante dans le regard. L'air de se tenir à distance. L'art d'observer choses et gens avec détachement. Certains le disent pirate. Lui se prétend gentilhomme de fortune... Ainsi apparaît Corto Maltese, fils d'une gitane andalouse et d'un marin des Cornouailles. Une gueule, une personnalité, un destin. Une légende de la bande dessinée devenue légende tout court. Certes, Corto est une créature de papier, inventée par le grand Hugo Pratt. Mais à force de le voir hanter notre imaginaire, on finit par s'interroger. Et s'il avait réellement existé ? Et si Pratt ne s'était fait que le dépositaire de ses souvenirs, l'humble biographe d'une destinée trop belle pour n'être qu'une simple fiction ?

Corto Maltese voit le jour en 1967, dans La Ballade de la mer salée. Piètres débuts : quand le lecteur fait sa connaissance, il est torse nu, pas rasé, pieds et mains attachés à un radeau grossier, en train de dériver au gré des courants du Pacifique. Mais très vite, Hugo Pratt en fait son personnage fétiche et lui offre une vie hors du commun. Corto a traversé le siècle et parcouru le vaste monde. Sa route a croisé celles de grandes figures de l'Histoire. Il s'est initié aux mystères de l'ésotérisme, frotté aux secrets de la kabbale et de la franc-maçonnerie. Mais s'est toujours voulu un homme libre, refusant tout embrigadement, gardant ses distances avec les dogmes et les drapeaux de toutes sortes. Un homme également libre de tout engagement avec les femmes, même si elles occupent une place essentielle dans l'existence de cet incorrigible romantique. Et puis, un jour des années trente, quelque part du côté de l'Espagne, alors que tonnent les canons de la guerre civile, on perd sa trace. Corto, pourtant, n'est pas mort. Il s'est simplement retiré pour achever sa vie près de l'océan Pacifique, à l'abri du tumulte du monde.

Mais Corto Maltese reste à jamais présent pour ses lecteurs, qui puisent dans les livres d'Hugo Pratt de quoi nourrir leurs rêves d'ailleurs. —Gilbert Jacques
Corto Maltese en noir et blanc, Tome 1 : La jeunesse
Hugo Pratt
El gaucho
Hugo Pratt, Milo Manara Présentation de l'éditeur Argentine, début du XIXe siècle. Tandis qu'anglais et espagnols se disputent le Rio De la Plata, Pratt et Manara jouent avec les destinées de Tom Browne, le jeune tambour, et de Molly Malone, la petite Irlandaise. Un formidable roman d'aventures, vibrant du tumulte des passions et du fracas des armes.
Sandokan : Le Tigre de Malaisie
Hugo Pratt, Mino Milani
Le voyage imaginaire d'Hugo Pratt
Hugo Pratt, Marc Restellini, Thierry Thomas, Patrizia Zanotti, Collectif
J'avais un rendez-vous
Hugo Pratt, Antonio Tabucchi Hugo Pratt a rassemblé dans les pages de ce livre les souvenirs de son dernier voyage dans les îles des mers du sud. Il a decidé de partir à la rencontre de ses rêves de jeunesse qui sont à l'origine des plus belles pages de son oeuvre. 280 pages
A bord de l'Etoile Matutine
Riff Reb's, Pierre Mac Orlan
1890
Francesco Ripoli
Thorgal, tome 15 : Le Maître des Montagnes
Grzegorz Rosinski, Jean Van Hamme Thorgal Aegirsson, l'enfant des étoiles... Adopté et élevé par un chef viking, il est le descendant direct d'hommes et de femmes qui ont trouvé refuge sur une autre planète, il y a très longtemps... Ses géniteurs terriens, eux, sont bien de notre époque. Ils s'appellent Jean Van Hamme, scénariste à succès (XIII, Largo Winch...), et Grzegorz Rosinski, dessinateur réaliste au trait vigoureux. Depuis 1977, date de sa première aventure, Thorgal trace tranquillement sa voie sur la route du succès. Il faut dire qu'il attire la sympathie. Par ses qualités de héros, bien sûr. Mais peut-être plus encore par ses qualités personnelles, qui font de lui un être à part dans la bande dessinée. Car Thorgal est avant tout profondément humain. Une créature fragile et incertaine, en proie au doute et à l'échec. Homme d'action mais aussi mari amoureux et père de famille attentionné... Thorgal a su séduire un large lectorat, en partie féminin, conquis par l'imaginaire foisonnant et la générosité de la série. —Gilbert Jacques
Le grand pouvoir du Chninkel : L'intégrale
Grzegorz Rosinski, Jean Van Hamme
Tirésias, tome 1 : L'Outrage
Rossi, le tendre Thèbes la superbe, Thèbes la glorieuse, Thèbes la cité protégée d'Athéna, la déesse aux yeux pers, Thèbes dont les victoires sont chantées dans toute la Grèce.

Parmi ses enfants les plus glorieux : le fier Tirésias, dont le courage n'a d'égal que la beauté. Peu nombreux sont ceux qui ne succombent pas à son charme, femmes ou éphèbes, guerriers ou servantes. Un pouvoir de séduction dont Tirésias tire toute sa superbe, mais aussi son arrogance et son orgueil. Au point d'oublier la prudence et de pousser trop loin sa soif de conquête : nul ne touche aux servantes d'Athéna sans s'attirer le courroux de la déesse. Lorsque Tirésias décide de suivre une mystérieuse cavalière dans la forêt, il est loin de s'attendre à la punition que lui a préparée la protectrice des Thébains. Une punition qui tend à faire penser que les dieux eux-mêmes ne manquent ni d'humour ni d'ironie.

Christian Rossi (L'Homme de la Nouvelle-Orléans, Le Cycle des deux horizons) et Serge Le Tendre (La Quête de l'oiseau du temps), n'en sont pas à leur premier péplum. Après La gloire d'Héra et Les Errances de Julius Antoine, ils livrent ici une épopée historico-mythologique drôle, prenante et tout en demi-teintes. —George Louhans
La gloire d'Héra
Christian Rossi, Serge Le Tendre,
Tiresias : Edition complète
Christian Rossi, Serge Le Tendre,
Ikkyu
Hisashi Sakaguchi
Ikkyu, tome 2
Hisashi Sakaguchi
Ikkyu, tome 3
Hisashi Sakaguchi
Ikkyu, tome 4
Hisashi Sakaguchi
Ikkyu
Hisashi SAKAGUSHI
Frankenstein : Ou Le Prométhée moderne
Mary Shelley
Jimi Hendrix, la légende du Voodoo Child
Bill Sienkiewicz D'octobre 66 à janvier 70, un jeune guitariste noir enflamma les scènes d'Europe et des Etats-Unis. Jamais de tel sons n'avaient été entendus. Jamais plus ils ne le seraient. Avec Jimi Hendrix, le monde entier vécu une expérience bouleversante : celle d'un génie en perpétuelle quête d'invention, en résonance totale avec son époque, dont la légende commença de son vivant... et se poursuit aujourd'hui encore. L'inépuisable richesse de cette courte vie est magnifiquement transposée en bande dessinée par Bill Sienkiewicz, l'un des plus brillants graphistes actuels. Au jeu fulgurant du musicien répondent les couleurs flamboyantes du dessinateur. Grâce à ses images qui vibrent comme des cordes, ce livre constitue un album de Jimi Hendrix à part entière
Elektra, l'intégrale
Bill Sienkiewicz Elle est insaisissable. Elle est implacable et sans pitié. Elle est plus rapide avec son sabre qu'une armée d'agents surentraînés.

Qui est-elle ? Certains l'appellent Elektra. Une tueuse à gage, une ninja aux pouvoirs surhumains dont la structure du cerveau semble avoir été modifiée par un narcotique inconnu, décuplant ses capacités, faisant d'elle une bête fauve dont la férocité n'a d'égale que la beauté. On la soupçonne d'avoir tué plusieurs policiers, d'avoir massacré la direction d'un asile, d'avoir assassiné le président Carlos Huevos. D'autres sont en danger : l'ambassadeur Reich et peut-être même le sénateur Wind, super-favori dans la course à la présidentielle. De quoi inquiéter les agents du S.H.I.E.L.D. Car Elektra n'aura de pitié pour personne. Elle est là pour combattre les démons. Les siens comme ceux qui menacent le monde libre...

En reprenant ce personnage issu de comics, Frank Miller (Sin City, Dark Knight) montre encore une fois sa capacité à détourner brillamment l'univers des super-héros pour mieux dénoncer le pouvoir. Il offre de plus à Bill Sienkiewicz l'occasion de prouver qu'il est un des dessinateurs les plus talentueux et inventif de la BD américaine. Son univers graphique, qui multiplie les styles et les techniques, loin d'être incohérent, émerveille à chaque page. Du grand art. —Georges Louhans
Stray Toasters
Bill Sienkiewicz
Algernon Woodcock, tome 2 : L'Oeil fé, seconde partie
Sorel, Gallié
Algernon Woodcock, tome 1 : L'Oeil fé, première partie
Guillaume Sorel, Mathieu Gallié Écosse, XIXe siècle. Fraîchement nommé médecin, le nain Algernon Woodcock – au demeurant personnage aussi insaisissable qu'énigmatique – et son ami le docteur William McKennan se rendent au port d'Oban, où un grand brûlé attend les soins qu'ils pourront lui prodiguer. Cette première tournée du médecin de campagne et de son nabot d'acolyte tourne vite au surnaturel, car dans cette Écosse-là, que balaient les intempéries de l'hiver, il s'en faut de peu pour que les vieilles légendes de marins sèment effroi et confusion sur un plancher des vaches étouffant, perdu entre brumes et brouillards.

Premier jet d'une série fantastique qui explore la lande et les légendes écossaises, Algernoon Woodcock bénéficie indubitablement de la patte et de palette graphique d'un Guillaume Sorel resplendissant qui, après L'Île des morts se penche ici sur des atmosphères sombres à souhait, que rehaussent paradoxalement la lumière diffuse des lampes-tempête et l'ambre du whisky qui console les cœurs à la dérive. De port de pêche en théorie de rochers montagneux, Sorel enchante le lecteur par un chromatisme ouvert et aérien… prodrome d'une noirceur qu'on devine latente dans l'œuvre. Nous voilà rassurés : le pire est bien à venir ! —Frédéric Grolleau
Gogo Monster
Matsumoto Taiyou
Une gueule de bois en plomb : Nestor Burma
Jacques Tardi, Léo Malet
Tardi. Entretiens avec Numa Sadoul
Jacques Tardi, Numa Sadoul Cette fois, tout est dit sur Tardi. Le père d'Adèle Blanc-Sec se dévoile dans un livre d'entretiens menés par Numa Sadoul, spécialiste de l'interview de grands noms de la bande dessinée. En dix chapitres, Jacques Tardi raconte son enfance, retrace les étapes successives de sa carrière, aborde les questions techniques qui l'assaillent chaque jour, fait le point sur quelques-unes de ses convictions intimes. Le tout agrémenté d'illustrations inédites, de bouts d'essai, de dessins de couvertures de livres ou d'affiches. Le livre montre un Tardi passionné par son travail d'auteur de bandes dessinées, en quête permanente de la perfection :Tu as parfois l'impression d'approcher du but, mais c'est un leurre. (...) Et ton image "idéale" n'est toujours pas sur le papier... C'est cette recherche, je pense, qui est le moteur de mon acharnement à faire de la bande dessinée. Un ouvrage porté par l'exigence absolue d'un authentique créateur. —Gilbert Jacques
Le Secret de l'étrangleur
Jacques Tardi, Pierre Siniac
Le Cri du peuple, tome 1 : Les Canons du 18 mars
Jacques Tardi, Jean Vautrin Le CRI DU PEUPLE n° 1 (2001) - Jacques TARDI Les Canons du 18 mars.
Le Cri du peuple, tome 2 : L'Espoir assassiné
Jacques Tardi, Jean Vautrin Résumé de l'épisode précédent : Antoine Tarpagnan s'apprête à pousser la porte de L'Œil de verre, bouge sordide et mal famé niché en bordure du canal de l'Ourcq. Il est prêt à tout pour sauver son amoureuse, Gabriella Pucci, des griffes de son protecteur, le redoutable Edmond Trocard (dit "La Joncaille"). De son côté, Charles Bassicoussé – alias Horace Grondin – se remet péniblement de ses blessures. Hébergé dans une baraque misérable par "La Chouette" et son homme, le biffin Trois-Clous, le sous-chef de la sûreté n'a rien renié de ses sombres projets de vengeance. Tapi dans l'ombre, l'inspecteur Barthélemy attend son heure : il rêve de savoir quels terribles secrets dissimule l'énigmatique Grondin. Pendant ce temps, la Commune de Paris rêve de bâtir un monde meilleur...
Les Canons du 18 mars, premier volume de l'adaptation par Tardi du roman de Jean Vautrin, Le Cri du peuple, avait tenu toutes ses promesses. Emporté par sa passion pour le thème du livre – il pensait depuis longtemps à mettre la Commune en images – et son intérêt pour Paris et son petit peuple, Jacques Tardi trouvait ici un sujet à sa mesure. Sa description en noir et blanc de la capitale de la fin du XIXe siècle et son talent pour "croquer" les personnages démesurés de Vautrin faisaient du premier volet de cette fresque une réussite jubilatoire. Les jurés du Festival d'Angoulême, comme ses visiteurs, devaient d'ailleurs le récompenser de concert, lui décernant l'Alph-Art du meilleur dessin en même temps que celui du public. Il ne restait plus qu'à confirmer : c'est chose faite avec la deuxième époque, intitulée L'Espoir assassiné. Dès le départ, le ton est donné : Tarpagnan s'aventure dans ce piège qu'est L'Œil de verre, où défile la fine fleur de la pègre des faubourgs. Col-de-Zinc, Fil-de-Fer, Caracole et les autres portent des surnoms aussi piquants que la lame de leurs couteaux... L'histoire est lancée, tandis que l'autre Histoire, la grande, poursuit sa marche inexorable vers un dénouement que chacun sait tragique. L'écriture de Vautrin, mélange de gouaille populaire et d'argot de l'époque, donne toute sa dimension épique à ce récit. Le trait de Tardi s'en donne à cœur joie. Ses vues nocturnes des faubourgs et ses reconstitutions du pavé parisien emmènent ses lecteurs à la découverte d'un monde aujourd'hui disparu, celui du Paris d'avant-hier. Un Paris antérieur à celui décrit par Tardi dans le cycle des aventures d'Adèle Blanc-Sec comme à celui des années 50, cadre des enquêtes de Nestor Burma. Bref, ce Cri du peuple nous fait hurler de bonheur. Mais la fête ne sera vraiment complète qu'avec la parution du troisième tome : il permettra enfin de déguster dans son intégralité cette ode passionnée à l'utopie révolutionnaire. —Gilbert Jacques
Le Cri du peuple, tome 3 : Les Heures sanglantes
Jacques Tardi, Jean Vautrin Aux armes, citoyens ! La Commune est en danger ! Les Versaillais sont aux portes de Paris ! Mais Horace Grondin, lui, n’en a cure. Il ne pense qu’à une chose, une seule : mettre la main sur Antoine Tarpagnan, qu’il soupçonne du meurtre de sa fille adoptive. Et le voilà qui bat la semelle sur le pavé parisien, au milieu des cris du peuple et du sang des communards…
Voici le troisième volet de l’adaptation magistrale par Tardi du roman de Jean Vautrin. On retrouve tous les personnages de cette saga de bruit et de fureur, portée par une langue superbe et un dessin digne du meilleur Tardi, tout de noir et de blanc. Ne manque que le rouge sang des combattants pour que le tableau soit fidèle à la réalité, mais on le devine à chaque coin de page – d’ailleurs, ce volume s’intitule Les Heures sanglantes, tout un programme.
Ce Cri du peuple est un double hommage : à la Commune, bien sûr, qui figure en bonne place dans le panthéon personnel de Vautrin et Tardi. Mais aussi à Paris, que le dessinateur magnifie comme à son habitude. Il n’a pas son pareil pour rendre vivante et palpable l’atmosphère de la ville de la fin du XIXe siècle, avec ses ruelles pavées, ses enseignes aujourd’hui disparues, ses gargotes et ses monuments. Tardi excelle dans la reconstitution du Paris de l’époque, lui qui sait comme personne redonner une âme à la capitale, véritable héroïne de toute son œuvre. Le Cri du peuple résonne aussi comme un vibrant hommage aux obscurs et aux sans-grade, à ce petit peuple parisien qui a donné sa vie pour un idéal. Les scènes de bataille où périssent nombre d’entre eux font immanquablement penser à la guerre de 14 – autre thème obsessionnel chez Tardi – et à ses poilus. Comme eux, ils sont soumis à la folie des hommes. Comme eux, ils sont prisonniers d’un destin social qui les transforme en chair à canon et en victimes expiatoires. Il y a, comme souvent chez Tardi, du militantisme dans les pages de ce Cri du peuple… Mais il y a aussi une histoire haletante, traversée de personnages hauts en couleur et attachants, de Ziquet à Gabriella, de Jules Vallès à Grondin, de Tarpagnan à la Chouette. Et au fur à mesure que l’étau se resserre autour des communards, le destin de Grondin, de Tarpagnan et de l’ignoble abbé Ségouret les entraîne vers un dénouement implacable...
Prévu à l’origine en trois volumes, Le Cri du peuple en comportera finalement quatre. Le dernier, qui mettra en images la tristement fameuse Semaine sanglante, s’annonce déjà comme un morceau de bravoure de Tardi… —Gilbert Jacques
Le Cri du peuple, tome 4 : Le Testament des ruines
Jacques Tardi, Jean Vautrin
Les Compagnons du crépuscule, hors série : Dans le sillage des sirènes
Michel Thiebaut Michel Thiébaut travaille depuis toujours sur la question de la représentation de l'histoire par l'image. C'est tout naturellement qu'il a contacté, il y a plusieurs années de cela, François Bourgeon, pour alimenter sa réflexion (à l'époque, pour Maître Guillaume). Quelques années plus tard, il se verra proposer par Glénat la possibilité d'écrire un livre autour de l'œuvre du père des Passagers du vent, mais qui ne sera publié que plus tard, puis suivi par une analyse de l'autre série phare de l'auteur : Les Compagnons du Crépuscule.
L'iconographie est généreuse, s'appuyant abondamment sur des extraits des albums, sur de nombreuses photos, schémas, ou encore copies de documents anciens et même des clichés de maquettes que François Bourgeon assemble lors de la création d'une nouvelle œuvre.
Ibicus, Tome 1
Pascal Rabaté (d'après Alexis Tolstoï) Petrograd, février 1917. Le vent de la tourmente révolutionnaire mêle son souffle aux bourrasques de l'hiver russe. Les temps sont troubles. Siméon Nevzorov survit dans une chambre misérable mais garde espoir en l'avenir : une gitane lui a prédit la richesse et des aventures extraordinaires. Car il est sous le signe d'Ibicus, le crâne qui parle... Ibicus raconte l'ascension d'un aventurier cynique et sans scrupules dans les limbes de la Russie soviétique. L'histoire est adaptée d'un roman d'Alexis Tolstoï : Ibycus, découvert par l'auteur au hasard de ses déambulations dans une brocante. Pascal Rabaté, fortement inspiré par les peintres expressionnistes, mais aussi par Goya ou le Greco, s'est attelé à une vaste fresque épique en quatre volumes. Son trait déforme et tord les personnages, tandis que son dessin au lavis plonge le lecteur dans une atmosphère irréelle, entre lumière et crépuscule, entre rêve et réalité... La deuxième partie, Ibicus. 2, a reçu l'Alph-Art du meilleur album au Festival d'Angoulême 2000. —Gilbert Jacques
Sharaz-De.
Sergio Toppi
Le trésor de Cibola
Sergio Toppi En 1541, en "Nouvelle Espagne", un vieux conquistador ressasse son amertume d’avoir été de tous les combats sans jamais avoir fait fortune. Un jour, deux hommes se présentent à sa cabane de misère et lui font miroiter le plus fabuleux trésor, celui de Cibola, nom de Sept cités mythique où l’on "se sert de l’or pour paver les rues". Cuchillo se laisse tenter. Les voici donc tous trois partis vers le Nord du Mexique, affronter le soleil, la soif, le désert et les indiens pour assouvir leur fièvre d'or.
Le Collectionneur, Tome 4 : Le Calumet de pierre rouge
Sergio Toppi
Le Collectionneur, Tome 5 : Le Collier de Padmasumbawa
Sergio Toppi
Les tarots des origines
Sergio Toppi, Pierre Yves Lador
Les formidables aventures de Lapinot : Les carottes de Patagonie
Lewis Trondheim
Franquin, Jijé : créateurs de bande dessinée
Philippe Vandooren
Sketchbook Vatine #1
Olivier Vatine
Le petit livre rouge
Olivier Vatine
Green manor, tome 2 : L'Inconvenient d'être mort
Fabien Vehlmann, Bodart
Green Manor, Tome 1 : Assassins et gentlemen
Fabien Vehlmann, Denis Bodart, Scarlett, Etienne Simon, Didier Gonord
Green Manor, Tome 3 : Fantaisies meurtrières
Fabien Vehlmann, Denis Bodart, Scarlett, Etienne Simon, Didier Gonord
Yaxin - Le Faune Gabriel - Canto I
Vey
Tell Me, Dark
Karl Edward Wagner, John Ney Rieber, Kent Williams S’inspirant des Fleurs du mal, les auteurs nous dévoilent, dans ce superbe roman graphique, la passion d’un homme pour une femme menacée par ses démons. Le livre culte des graphistes. Kent Williams est considéré comme l’un des plus grands auteurs de la BD américaine.
Les lumières de l'Amalou 4 : Gouals
Claire Wendling
DRAWERS
Claire Wendling Collection Les Dossiers du Cycliste
The Fountain
Kent Williams, Darren Aronofsky
Blood, tome 1
Kent Williams, Jean Michel De Matteis Dans le décor de l'île des morts Un vampire, élevé dans l'ignorance, éprouve une soif de connaissance qui surpasse celle du sang. Voici la chronique de la vie ordinaire d'un vampire : ses amours, ses doutes existentiels et ses réactions à la fois instinctives et réfléchies face à l'adversité.
Blood, tome 2
Kent Williams, Jean Michel De Matteis On retrouve le décor de l’île des morts et la suite de la vie ordinaire d’un vampire avec ses amours, ses doutes existentiels et ses réactions à la fois instinctives et réfléchies face à l’adversité, Blood nous entraîne dans les tréfonds de l’âme humaine. Une œuvre culte enfin rééditée dans son intégralité en français.
Grande Fanta
Ashley Wood Spectrum-Award winning artist Ashley Wood is a proven favorite, and this new deluxe softcover volume collects popular - and currently unavailable - art books Uno Fanta and Dos Fanta along with more recent book Tres Fanta. Ashley Wood's legions of fans have been waiting for something like this - a full compendium of the highlights of his artistic career!
Sencilla Fanta: Sketches And Ideas Of Ashley Wood
Ashley Wood Get a peek inside the mind of this creative powerhouse with a deluxe, 320 page sketchbook. Offering a fascinating view of the process that results in Ashley Wood's breathtaking art, Sencilla Fanta is a must for all his admirers.
Swallow it's about pictures Volume One Number Three
ashley wood
Popbot Collection Volume 1
Ashley Wood, Sam Kieth The Popbot Collection provides the first three books of Ashley Wood's ongoing Popbot graphic novel series in one handsome edition, in full color.
Zombies vs. Robots vs. Amazons
Ashley Wood, Chris Ryall The Eisner Award-losing team of Chris Ryall and Ashley Wood took the "vs" concept as far as they could with the original Zombies vs. Robots, right? Wrong! They push things much further this time, by introducing the latest combatants to mix it up with rotting flesh and rusting steel - Amazons. Not to mention the threat of... the zombie minotaur!
Complete Zombies Vs. Robots
Ashley Wood, Chris Ryall It started with a simple idea - mindless robots fighting rabid zombies, over the fate of the last living human baby. Then the war spread, and now it's a three-way rumble as an island of surviving Amazons get tossed into the mix! Collecting the entire Zombies vs. Robots and Zombies vs. Robots vs. Amazons series in one volume - including three prequel tales - this book allows you to get your fix of the two sold-out mini-series adventures in inanity.
Nicolas Eymerich Inquisiteur, tome 1 : La Déesse
Jorge Zentner, Valerio Evangelisti, David Sala
Nicolas Eymerich, inquisiteur, tome 2 : La Déesse, seconde partie
Jorge Zentner, David Sala, Valerio Evangelisti
Nicolas Eymerich, inquisiteur, Tome 3 : Le corps et le sang : Volume 1
Jorge Zentner, David Sala, Valerio Evangelisti
Nicolas Eymerich, inquisiteur, Tome 2 : Le corps et le sang
Jorge Zentner, David Sala, Valerio Evangelisti