Library
Goulven Quentel
Collection Total:
1073 Éléments
Last Updated:
Jul 3, 2012
L'Ecorce et le noyau
Nicolas Abraham, Maria torok
Le Rosaire des philosophes
Anonyme
L'air et les songes : essai sur l'imagination du mouvement
Gaston Bachelard
L'eau et les rêves : Essai sur l'imagination de la matière
Gaston Bachelard
L'Oeuvre de Jung et la psychologie complexe
Charles Baudouin
Des Jeux et des hommes
Eric Berne
Que dîtes-vous après avoir dit bonjour ?
Eric Berne
Psychanalyse des contes de fées
Bruno Bettelheim Poche, 476 pages.
Etre des Parents Conscients T1 Etat l
Valérie et Luc Bossuet
L'ensorcellement du monde
Boris Cyrulnik
Les vilains petits canards
Boris Cyrulnik Ils sont plus nombreux qu'on ne croit ceux qui ont dû construire leur vie sur la mémoire douloureuse d'une enfance meurtrie. Certains ont trouvé dans l'écriture ou la chanson de quoi surmonter ce qui les avait laissés sans voix : de Genet à Céline ou Perec en passant par la Callas ou Brassens, les artistes ont souvent tiré du "temps caché des souvenirs" que chante Barbara, un élan de vie.

Beau sujet que celui de la résistance psychique (ou "résilience"), de la force créatrice que parfois même les tragédies infantiles font naître, même si Boris Cyrulnik, déjà auteur de Un merveilleux malheur, reste parfois ici à la surface des choses. Sur le thème psychologique de la résilience, vous pouvez également vous reporter à Souffrir mais se construire, de M.P. Poilpot, et à Relation familiale et résilience, de J-P. Pourtois et H. Desmet. Sur le rapport entre trauma et création : L'Enfance meurtrie de L.-F. Céline, de J.- P. Mugnier, et Saint Genet, comédien et martyr, de Jean-Paul Sartre. -Emilio Balturi
Le murmure des fantômes
Boris Cyrulnik Après Un merveilleux malheur et Les Vilains Petits Canards, Boris Cyrulnik poursuit son investigation du phénomène de "résilience". Comment relever le défi du traumatisme ? Comment éviter d'y rester fixé, mortifié par le choc d'un événement après lequel la vie peut n'être que survie au royaume des ombres ? L'auteur, éthologue de formation, se penche plus précisément sur les traumas de l'adolescence impliquant de près ou de loin la sexualité. On n'apprendra pourtant rien de bien nouveau, dans cet ouvrage, par rapport aux précédents. Les descriptions de cas y surabondent et font écran à l'analyse théorique, se substituant complaisamment aux réponses des questions soulevées, pourtant passionnantes : qu'est-ce qu'un traumatisme ? Comment s'intègre-t-il à la mémoire ? Quel secours l'entourage peut-il apporter au travail de la résilience ? Le traitement très personnel que Boris Cyrulnik propose de la question du trauma dans la vie psychique fait clairement ressortir que le processus de résilience, en admettant qu'il soit solidement établi, n'a pas encore trouvé sa théorie.

Sur la question du trauma, on lira avec intérêt Figures et destins du traumatisme de C. Janin. On pourra également remonter aux sources des principaux développements psychologiques et psychanalytiques sur ce thème : Au-delà du principe de plaisir de S. Freud (dans la nouvelle et très sérieuse traduction des Œuvres complètes aux Presses Universitaires de France : Tome XV). —Emilio Balturi
De chair et d'âme
Boris Cyrulnik
Parler d'amour au bord du gouffre
Boris Cyrulnik
Capitalisme et schizophrénie. L'anti-Oedipe
Gilles Deleuze
Et l'enfant créa le père
D. Dumas
L'Ange et le Fantome: Introduction à la clinique de l'impensé généalogique
Didier Dumas
Sans père et sans parole:La place du père dans l'équilibre de l'enfant
Didier Dumas Où sont passés les pères ? Les bouleversements de mai 1968, le mouvement féministe des années soixante-dix, une justice qui privilégie la mère dans la garde de l'enfant et une médecine qui, avec la procréation assistée, tend à se substituer au père, tels sont les jalons d'une évolution des moeurs sans précédent. Au cours de ces trente dernières années, la figure paternelle s'est peu à peu lézardée. Les conséquences en sont lourdes. Un nombre impressionnant d'enfants ne voient jamais leur père, la délinquance se développe dans les villes et les banlieues et les institutions prenant en charge la santé mentale de l'enfant sont débordées.

II devient urgent de redonner leur place aux pères et de redéfinir leur rôle dans l'épanouissement de l'enfant.

Etre père, ce n'est pas être un substitut de la mère. C'est occuper dans la vie mentale de l'enfant une place dont dépendent sa construction et sa santé psychique. Un enfant se conçoit autant dans des propos et des désirs partagés que dans un acte sexuel. Si le rôle de la mère est de porter l'enfant dans son corps, celui du père est de le porter dans ses pensées et ses désirs. Interdire à l'enfant de comprendre qu'il est le fruit du désir de ses deux parents, c'est le condamner à l'emprise d'un monoparentalisme dévorant, qui le prive de tout accès à l'autonomie et le rend incapable de s'intégrer à la société.

Ecoutant des enfants, des pères et des mères depuis plus de vingt ans, Didier Dumas montre, à travers les propos, les souffrances et les « folies » des petits et des grands, que cette méconnaissance du rôle du père dans la construction psychique et spirituelle de l'enfant est la première cause de tous ses désordres mentaux. Et que les troubles dus à la démission des pères se transmettent et se répètent, en s'aggravant, d'une génération à l'autre.

Psychanalyste d'enfants, Didier Dumas a longtemps travaillé avec Françoise Dolto. Il est l'auteur de La Sexualité masculine, Albin Michel, 1990.
La Bible et ses fantômes
Didier Dumas
Femmes qui courent avec les loups
Clarissa Pinkola Estés
Ces hommes qui frappent avec des mots : Se libérer de la violence verbale
Patricia Evans
Le corps messager
Isabelle Filliozat, Hélène Roubeix
Aurora consurgens : Le Lever de l'aurore
Marie-Louise von Franz
La Femme dans les contes de fées
Marie-Louise von Franz
La Psychologie de la divination
Marie-Louise von Franz
Alchimie et imagination active
Marie-Louise von Franz
L'interprétation des contes de fées
Marie-Louise von Franz
Cinq leçons sur la psychanalyse : Suivi de Contribution à l'histoire du mouvement psychanalytique
Sigmund Freud, Yves Le Lay, Samuel Jankélévitch, Gisèle Harrus-Révidi Quand Freud s'embarqua pour les États-Unis, en 1909, avec quelques-uns de ses proches, ce n'était pas en apôtre d'une bonne nouvelle mais bien plutôt en vecteur d'un nouveau mal : "Ils ne savent pas que nous leur apportons la peste", aurait-il confié, durant le voyage, à Ferenczi et Jung. La psychanalyse avait déjà commencé, sur le vieux continent, à faire scandale avec l'hypothèse de l'inconscient et l'idée d'une sexualité infantile. Depuis son foyer viennois, elle se répandait comme un corps étranger suscitant irritation et rejet souvent fiévreux. C'est pourtant avec sympathie et intérêt que les prestigieux ambassadeurs de la psychanalyse furent accueillis sur le sol américain. Dans ces cinq conférences qu'il prononça à la Clark University, aux États-Unis (Massachussetts), en 1909, Freud s'adresse à un public de jeunes psychiatres et psychologues qui ignorent à peu près tout de ses travaux. Le style et le ton du propos sont donc particulièrement clairs et didactiques, trop peut-être si l'on en juge d'après ce que l'Amérique fit de la psychanalyse. Ces leçons constituent un résumé concis de l'état du savoir freudien en 1909, après la publication de L'Interprétation des rêves (1900) et des Trois Essais sur la théorie sexuelle (1905) : les travaux sur l'hypnose et l'hystérie, en collaboration avec Breuer ; la découverte de l'inconscient ; le rêve ; la sexualité infantile ; le transfert et la sublimation ; les pulsions…

Cet ouvrage marque une étape importante dans l'histoire du mouvement analytique : dès l'année suivante, en 1910, sera fondée la Société internationale de psychanalyse. La lecture des Cinq leçons sur la psychanalyse nous livre donc l'éclairage sous lequel Freud voulut présenter officiellement son savoir au monde entier.

Pour approfondir : Leçons d'introduction à la psychanalyse
La terre et les rêveries de la volonté.
Bachelard G.
Rencontres avec l'âme : L'imagination active selon C.G. Jung.
Barbara Hannah
La fiction qui soigne
James Hillman
Pan et le cauchemar : Guérir notre folie
James Hillman
Le Mythe de la psychanalyse
James Hillman
Le code caché de votre destin
James Hillman
METAGENEALOGIA
Alexandro Jodorowsky, Marianne Costa
Métagénéalogie : La famille, un trésor et un piège
Alexandro Jodorowsky, Marianne Costa Notre cerveau est probablement l’un des objets les plus complexes de l’univers. Il contient plus de cent mille millions de neurones, cellules dotées d’un noyau qui fonctionne comme un émetteur-récepteur en miniature. Ces cellules s’unissent entre elles, formant des connexions qui transmettent l’information sous forme de courant électrique. Quand nous venons au monde, notre potentiel neuronal est celui de l’être humain accompli du futur, mais il a encore peu de connexions. Le réseau se tisse peu à peu, au contact des membres de notre famille et des connaissances qu’ils nous transmettent. Nous sommes héritiers d’expériences. Pourtant, ces expériences sont limitées et se traduisent en langues « nationales » (ou « maternelles »), produisant des états mentaux stagnants, un monde intérieur aux interconnexions pauvres, une prison culturelle dont nous avons du mal à nous échapper.
L’énergie qui circule entre les neurones, et que les scientifiques décrivent comme « électrique », peut aussi bien être pensée comme une manifestation de la Conscience universelle qui tend à créer dans notre cerveau une structure formée par la totalité des réseaux possibles entre ses cellules : l’esprit grandiose de l’humain futur. Il est également permis de penser que cette mystérieuse énergie tend à unir la totalité des consciences qui peuplent notre univers.
La volonté familiale, sociale et culturelle lutte en revanche pour que l’individu obéisse à la formation de ses ancêtres qui dans la plupart des cas, par accumulation d’idées, de sentiments, de désirs et de besoins hérités, contrarie le projet spirituel et le maintient dans des niveaux de Conscience assez bas. L’arbre généalogique agit comme un piège en imposant à ses descendants ses limites, matérielles et psychologiques (un mélange de peurs, de rancœurs, de frustrations et d’illusions) contre la perfection du projet cosmique. Dès le ventre maternel, le fœtus reçoit des impulsions le conduisant à imiter le modèle légué par les ascendants. Car la famille n’accepte pas la création pure et simple, ex nihilo, venue de rien, sans modèle extérieur.
En d’autres termes, tout individu est le produit de deux forces : la force d’imitation, dirigée par le groupe familial, qui agit depuis le passé, et la force de création, maniée par la Conscience universelle depuis le futur. Quand les parents limitent leurs enfants en les obligeant à se soumettre à des plans préétablis ou à des consignes tels que « Tu seras ceci ou cela », « Tu ressembleras à telle personne », « Tu obéiras à nos idées et à nos croyances et tu les propageras », ils s’inscrivent en faux contre le projet d’évolution future et plongent la famille dans toutes sortes de maladies physiques et mentales.
Dès les premiers instants de son individuation en tant que fœtus, la Conscience subit ce conflit entre créer et imiter. Quand l’enfant présente dès sa naissance peu de traits psychologiques calqués sur ses géniteurs, on peut penser que la Conscience a été capable de vaincre les modèles que les générations précédentes prétendaient lui imposer. Si au contraire l’enfant devient la copie conforme de ses parents ou de ses grands-parents, la Conscience a été vaincue. Les âmes créatrices sont rares, les âmes imitatrices sont légion. Les premières doivent apprendre à communiquer et à semer leurs valeurs, les secondes doivent se libérer de leurs moules et apprendre à créer, c’est-à-dire arriver à être elles-mêmes et non ce que la famille, la société et la culture ont voulu qu’elles soient. Le clan agit comme un organisme. Quand l’un de ses membres change, tout l’ensemble réagit positivement ou négativement. Un arbre de belle allure qui produit des fruits empoisonnés est un arbre mortifère. Un arbre tordu qui produit des fruits sains est un arbre vivant et utile. Lorsqu’un individu développe sa Conscience, il devient un meilleur fruit et offre à son arbre une nouvelle signification. Les souffrances de nos ancêtres (blessures narcissiques, humiliations, hontes ou culpabilités) acquièrent grâce à lui une raison d’être. Lorsque la famille réagit, la société dans laquelle elle s’est développée réagit elle aussi : les arbres font partie d’une forêt.
Chaque arbre généalogique a deux devoirs principaux : accomplir les nécessités biologiques (reproduction, éducation des enfants, etc.) et s’intégrer à un groupe social en respectant ses lois. Si chaque famille refusait le contact avec les autres et cédait à sa tendance séparatiste, la société ne pourrait pas exister. Voilà pourquoi l’arbre généalogique se développe prisonnier d’un réseau d’interdictions et d’obligations sociales et culturelles, parmi lesquelles, par exemple, le tabou de l’inceste qui pousse le clan à se mêler au reste de l’humanité au lieu de se refermer sur lui-même. Cependant ces vetos et ces lois peuvent dans certains cas ne pas correspondre à la nature essentielle de l’être. Toute culture impose divers modes de conduite basés sur ses mythes fondateurs et ses croyances religieuses ou idéologiques. D’une société à l’autre, les institutions familiales peuvent être très différentes. Par exemple, la monogamie n’est pas universelle, il existe des sociétés polygames ou polyandres. Dans certaines cultures, le frère d’un homme mort sans laisser d’héritier est contrait d’épouser sa belle-sœur veuve, dans d’autres encore la jeune sœur d’une épouse défunte doit prendre la place de celle-ci dans le lit du veuf.
Nous naissons dans une culture donnée, à une époque donnée, dans un pays en particulier. Nous ne serions pas les mêmes si nous parlions une autre langue, si nous étions nés dans une autre civilisation ou à une autre époque. . . Ces limitations, dépendantes de la mémoire collective, nous incitent à répéter des schémas et définissent notre être culturel. Mais en même temps, les possibilités du futur qui travaillent pour conduire l’humain à sa mutation transforment la souffrance initiale en énergie consciente, et créent l’Être essentiel.
L’être culturel, formé par ceux qui nous ont éduqués, doit accepter les projections des membres de sa famille désireux d’être imités. On lui enjoint d’exercer telle ou telle profession, de pratiquer telle ou telle religion, d’adhérer à telles idées politiques. Il doit lutter contre des prédictions négatives : « Si tu fais ceci, tu te détruiras », « Si tu te consacres à telle activité, tu finiras ruiné », « Si tu as des relations sexuelles avant de te marier, tu perdras ton honneur ». Le cerveau a tendance à réaliser ces prédictions. L’Inconscient les transforme en injonctions qui se mettent à agir sur nos vies comme des malédictions auxquelles nous ne pouvons nous soustraire. L’Être essentiel, quant à lui, programmé par le Supraconscient, déploie dans l’esprit des aspirations sublimes, réduites au statut d’illusions par la mémoire du clan ; des utopies, presque toujours vécues avec angoisse ; des désirs de rendre le monde meilleur, presque toujours vécus avec désespoir. L’Être essentiel et l’être culturel s’entremêlent sans cesse, tantôt pour entrer en conflit, tantôt pour s’entraider. Aïeux, grands-parents et parents se fondent en nous pour le meilleur comme pour le pire. Les forces de répétition et les forces de création, dans leur dynamique sans fin, nous tirent vers la répétition incessante du même et, simultanément, nous poussent à devenir ce que nous sommes vraiment. C’est ainsi que toute famille se transforme en une entité double : ombre et lumière. Le trésor et le piège s’unissent dans le descendant.
Nous pouvons avoir une vision à la fois positive et négative de nos arrière-grands-parents, grands-parents et parents. Chacun des ascendants devient alors une entité double : lumineuse et obscure. Deux champs d’énergie qui, bien qu’ils s’opposent, sont complémentaires. Dans le présent, l’esprit qui se matérialise coexiste avec la matière qui se spiritualise, le Supraconscient avec l’Inconscient, l’intention de réaliser le futur avec celle de répéter le passé, l’Être essentiel avec l’être socioculturel, le désir de créer avec le désir d’imiter. C’est l’étude de l’arbre sous ce double aspect simultané et complémentaire, trésor et piège, que j’ai appelée métagénéalogie.
Dans la mesure où l’étude de l’arbre généalogique peut se résumer à une compréhension de ce que signifie essentiellement le couple humain, il m’a paru fondamental que ce livre soit le fruit d’une collaboration entre un homme et une femme. Nous sommes tous issus d’un couple, comme nous le rappelle le Tarot de Marseille qui fait correspondre au Pape une Papesse, à l’Empereur une Impératrice et au Soleil la Lune. Je veux ici rendre hommage au Tarot, ce formidable outil à penser et à développer l’intuition qui m’a permis d’intégrer toutes les connaissances tirées de la lecture et de l’expérience, qu’elles soient spirituelles, psychologiques, philosophiques ou artistiques. Le Tarot est une structure fascinante, un temple intérieur à l’architecture si bien équilibrée qu’il peut servir de tuteur à une foule de développements théoriques.
Pour écrire La Voie du Tarot, j’avais déjà eu la chance de collaborer avec Marianne Costa. Sa compréhension profonde de ma conception de l’arbre généalogique et son expérience de plus de dix ans dans ce domaine faisaient d’elle la collaboratrice idéale pour ce nouvel ouvrage. Sans son concours, ce livre n’aurait jamais pu voir le jour.
Dialectique du moi et de l'inconscient
C. G. (Carl Gustav) Jung
Psychologie et alchimie
C. G. (Carl Gustav) Jung
Les racines de la conscience
C. G. (Carl Gustav) Jung, Roland Cahen
Mysterium conjunctionis, tome 1
Carl Gustav Jung
Mysterium conjunctionis, tome 2
Carl Gustav Jung
Ma vie
Carl Gustav Jung
Commentaire sur Le Mystère de la fleur d'or
Carl Gustav Jung
Métamorphoses de l'âme et ses symboles
Carl Gustav Jung
Sur l'interprétation des rêves
Carl Gustav Jung
Introduction à l'essence de la mythologie
Carl Gustav Jung, Charles Kerényi
Les sept sermons aux morts : Et autres textes
Carl-Gustav Jung
Réponse à Job
Carl-Gustav Jung
La Nouvelle Interprétation des rêves
Tobie Nathan
Les Trois pommes d'or: Commentaire sur l'Atalante fugitive de Michel Maïer
Etienne Perrot
L'Aurore occidentale: Libres méditations sur le Lever de l'Aurore, accompagnées de la traduction du traité alchimique attribué à St Thomas d'Aquin
Etienne Perrot
La consolation d'Isaïe
Etienne Perrot
Des étoiles et des pierres
Etienne Perrot
Le jardin de la reine
Etienne Perrot
Chroniques de la vie libérée
Etienne Perrot
De Dieu aux dieux
Etienne Perrot
La Voie de la Transformation d'après CG Jung et l'Alchimie
Etienne Perrot
Mystique de la terre
Etienne Perrot
Les rêves et la vie
Etienne Perrot
Coran Teint, le Livre Rouge
Etienne Perrot
Le Fripon divin: Un mythe indien
Paul Radin
Aïe, mes aïeux !
Anne Ancelin Schützenberger